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dimanche 31 mai 2015

GABEGIE

 Sortie ouest de Lakhdaria.




Le pont du chemin de fer qui enjambe la RN.5.
D'ici jusqu'à Beni Amrane, sur une quinzaine de km, outre les tunnels, on compte une dizaine d'ouvrages métalliques qui ont été réalisés à la fin du 19 siècle à coup de centaines d'hectolitres de sueur "indigène" pour mater un relief excessivement inhospitalier.
Il me souvient que la dernière opération de sablage et re-peinture de certains de ces ouvrages remonte aux années 80, bien avant que Ghoul et Tou n'aient pris en main les secteurs des travaux publics et des transports.
Certains de ces ouvrages font aujourd'hui pitié à voir... livrés à la rouille, ils semblent ne susciter aucun intérêt des décideurs plus enclins à s'occuper d'une autoroute budgétivore et à discuter à perte de salive des transports aériens...
Cette situation est assez édifiante sur ce qui attend les projets lancés tous azimuts pendant la "bahbouha" pétrolière et qui, demain, nécessiteront des coûts d'entretien faramineux que le pays ne possédera pas.
Je ne sais pas si au ministère on dispose d'un programme d'entretien périodique qui puisse assurer à ces ouvrages la longévité qu'exigent leur coût et leur utilité et la sécurité qu'impose leur exploitation mais tout porte à croire que les seules opérations de maintenance du secteur se résument aux désherbage des fossés des bords de route que mènent des travailleurs usés qu'on remarque à tout moment le menton sur le manche de leur pelle à regarder passer les voitures...
1er juin 2015

EL MOURADIA N'EST PAS SAMIRA TV

  CONSECRATIONS SANS MERITES... Je n'ai pas l'honneur de connaître tous les sénateurs, heureux élus du tiers présidentiels, ni les a...