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mercredi 20 décembre 2017

ANA EL ADIB

 Je suis rentré depuis 1/2 h... Il m'a fallu conduire à vitesse modérée car la route s'est transformée en rivière avec une pluie drue qui tombe assidument depuis quelques heures...

Une pluie qui aurait arraché à mon défunt père un radieux sourire matinal et dont il aurait dit en soufflant sur les mains au seuil de la porte: "3am m'tchakh'tchakh y'a m'ra !" en parlant à ma mère...
M'tchakhtchakh en beau langage de chez nous est intraduisible mais se rapproche de "suberbe", "prometteur", " généreux" ...
Je me suis comme de bien entendu abreuvé de musique en mettant le son presque à fond et, étant toujours en phase "imam" j'ai écouté une bonne dizaine de ses chansons en enregistrant celle-ci pour la partager avec vous...
Elle parle de l'écrivain qui croit que sa consécration dépend de son inféodation sans réserves aux canons de la "démocratie" que défendent les marchands de canon qui se sont faits champions des droits de l'homme après en avoir usé et abusé au cours des siècles...
Comme vous, je comprends les paroles par bribes et entre autres cette sentence où il est question de faire sa révérence à l'Amérique et de toujours considérer que son rejeton moyen oriental est dominé (maghloub) et a donc besoin d'être soutenu...
J'aurais aimé que notre ami
Noureddine Khelassi
nous en fasse une tardjama pour que nous puissions savourer la pleine mesure de ce texte...
Aya bonne journée et attention aux glissades...
21/12/2017

EL MOURADIA N'EST PAS SAMIRA TV

  CONSECRATIONS SANS MERITES... Je n'ai pas l'honneur de connaître tous les sénateurs, heureux élus du tiers présidentiels, ni les a...