Rechercher dans ce blog

samedi 27 février 2021

AU SECOURS !

 AU SECOURS !

Je prie tous ceux qui peuvent faire quelque chose pour moi de me venir en aide...



Je supplie les hommes de bonne volonté (les femmes le sont toutes) et les amis sincères (les amies le sont toutes) de me trouver très vite un moyen d'éviter la folie en me tirant de la terrible situation dans laquelle je me trouve depuis quelques jours et qui a atteint son paroxysme aujourd'hui...
Je subis en effet une invasion en règle de ma boîte de réception et je me retrouve avec un nouveau message toutes les trois minutes...
Ces messages viennent dupliqués à des dizaines d'exemplaires pour me dire ce qu'il faut faire comme si j'avais souscrit à un ordre quelconque...
J'informe mes ami(e)s qui pensent tellement à moi qu'en ces moments j'ai plus besoin de sous que de conseils...
Que ceux que mon bonheur intéresse me fassent donc des mandats à mon numéro CCP... je le communique en MP à tous mes bons samaritains...
Quant aux slogans à dire ou à éviter, aux drapeaux à soulever, à la manière de marcher, aux conseils à suivre pour éviter les provocations, les casses etc... je n'en ai nul besoin étant donné que je n'ai jamais pris les trains en marche surtout quand le sifflet du départ a été donné par tout le monde et n'importe qui...
Dites donc aux échangeurs de tous bords de s'épargner l'effort de me compter dans leur listes de destinataires de leurs copiés-collés...
Oua adjroukoum 3ala Allah !
28/2/2019

ON NE PEUT SATISFAIRE TOUT LE MONDE ET SON PÈRE

 ON NE PEUT SATISFAIRE TOUT LE MONDE ET SON PÈRE...




Vous connaissez tous l'histoire du meunier, de son fils et de leur âne... Certains ignorent que c'est une belle fable de La Fontaine et l'attribuent à notre Djeha...
Mais ma3lich... l'essentiel n'est pas dans la paternité de cette histoire mais dans sa morale...
Et moi, cette belle morale, je l'ai faite mienne !
J'ai compris qu'au jour d'aujourd'hui bien plus que par les temps passés, le "taghannant" s'étant imposé à cette société de la chèvre volante, vous pouvez argumenter tout votre soûl, vous ne ferez jamais douter les tenants des "constantes" de leurs idées toutes faites et qui ont chez eux le caractère de certitudes coraniques...
Et quand j'écris sur l'islamisme, l'arabisme, le francophilisme, le régionalisme, le kabylisme, le bouteflikisme, le socialisme, le libéralisme, l'oppositionnisme et tous les mots en isme que brandissent en étendards les batteurs de pavés de toutes les causes, je devine qui parmi mes contacts ou ceux qui me font l'honneur de me lire, viendra me convaincre de mes torts avec la véhémence de sa certitude...
Avec le temps, j'ai fini par exaspérer tout un monde de porteurs de causes en bandoulière et à chacune de mes sorties, je reçois des sections entières de pourfendeurs montés contre ma personne et qui s'en prennent directement à moi en me collant des étiquettes de toutes sortes alors que j'attends d'eux de m'ignorer car je ne suis rien et de se contenter de m'apporter les arguments qui contrediraient les miens...
Je vous avoue toutefois que loin de m'exaspérer, ces jugements-condamnations, tant qu'ils ne sont pas suivis de tentatives d'exécutions me font plutôt rire à deviner les faces rougeaudes de leurs auteurs et à sentir presque les postillons rageurs qui s'échappent de leurs bouches tordues par les rictus de la colère et les regards acerbes qu'ils doivent me lancer de leurs yeux rougis de consternation...
Et comme le meunier de la fable, je continue mon petit bonhomme de chemin virtuel en disant à tous:
"Je suis Âne, il est vrai, j'en conviens, je l'avoue ;
Mais que dorénavant on me blâme, on me loue ;
Qu'on dise quelque chose ou qu'on ne dise rien,
J'en veux faire à ma tête. "
28/2/2019

LES TRIBULATIONS D UN ALGERIEN EN ALGERIE...

 LES TRIBULATIONS D UN ALGERIEN EN ALGERIE...

Dois je me résoudre à aller jusqu'à Ouargla ?... J'pense pas !... j'aurais aimé y aller pour voir la ville que je n'ai vue que sur Google Earth et à la télé quand les chômeurs y soufflent le chaud ou quand le wali Bouguerra y fait son show... je pourrais y aller volontiers pour rendre visite à un(e) ami(e) qui m'y inviterait ou qui serait dans le besoin mais je n'ai pas le plaisir d'y compter des amies et encore moins des amis si on excepte le wali Bouguerra dont je me vante d'être l'ami mais qui doit m'avoir complètement oublié parce que je suis resté ce que j'étais quand on se connaissait alors que lui est devenu ce qu'il est...
Pourquoi alors aller à Ouargla ?
Je vous explique...
C'est ma benjamine, zaama licenciée en sciences de l'information qui m'a demandé de l'y emmener...
Elle est employée depuis quelques années dans le cadre du "dispositif" de "casement" des diplômés à l'école primaire où elle doit mettre en rang les élèves quand ils rentrent à la cantine et elle est payée pour ça.
Elle a dû accepter ce boulot depuis deux ou trois ans... c'est vrai que c'est moins pénible que le travail que fait sa collègue qui doit surveiller nos futurs bénéficiaires du DAIP (dispositif d'aide à l'insertion professionnelle) quand ils doivent honorer leurs plats de lentilles au soupçon de viande... mais elle ne trouve pas très emballant ce travail et puis, son contrat va bientôt se terminer et elle stresse beaucoup à la perspective qu'elle devra encore revenir à ses parents pour s'acheter ses nippes de chez le fripier du marché de Boumerdes...
Ma benjamine a donc pensé qu'elle avait tout intérêt à se trouver un boulot avant d'être remerciée car elle sait, c'est moi qui le lui ai appris, que les promesses de Sellal, comme toutes promesses pré-électorales ne doivent pas être prises au sérieux et qu'elle n'a pas à compter sur l'ANSEJ vu qu'elle doit subir le parcours du combattant avant d'avoir ses crédits qui sont d'ailleurs conditionnés par une participation que je ne peux lui assurer...
Je lui ai expliqué, preuves à l'appui, que l'ANSEJ ça donne des camions et des engins et autres matériels indirectement à des friqués qui financent la participation des jeunes pour pouvoir avoir du matériel sans passer par leurs banques, matériel sur lequel ils font travailler les jeunes que l'Etat qui doit être au parfum de ces pratiques, prétend avoir rendus "opérateurs économiques" en montrant à la télé les exceptions qui confirment la règle...
Ayant abandonné son projet ANSEJ qui l'a fait rêver durant 6 mois, ma benjamine a décidé de participer à tout concours qui pourrait s'offrir à elle et elle a constitué des dizaines de dossiers...
Il y'a un mois elle a passé un de ces concours ouverts par la Justice pour recruter des secrétaires greffiers... elle avait le numéro 2163... il y'avait certainement 2163 autres candidats derrière elle soit 2163 x 2 = 4326 postulants pour 20 postes offerts... outre la liasse de documents qu'elle a présentée, elle a payé 300 DA de frais d'examen... Comme les postes étaient certainement déjà attribués, c'est la Justice qui a ramassé le pactole de 4326 x 300 = 1 297 800.00 DA pour son "respect de la transparence" en matière de recrutement, quant aux candidats, ils attendent le résultat des joutes... ils pourront attendre !
Elle a ensuite constitué un dossier pour passer un concours d'accès à la douane... là ce fut désopilant !... il fallait d'abord constituer un dossier en béton avec certificats médicaux, diplômes etc... et aussi... une attestation de toise.
Je pensais que c'était simple... j'ai pris le ruban-mètre que ma femme garde toujours même si sa Singer a rendu l'âme et j'ai mesuré ma fille des pieds nus jusqu'aux cheveux enfoulardés... 1.68 m... elle dépassait l'exigence de taille de 13 cm... j'ai écrit l'attestation à l'ordinateur sur une feuille A4... " je soussigné certifie que ma fille a une taille de 1.68 m. Cette attestation est établie pour servir et valoir ce que de droit... date et signature". Comme il faut toujours faire certifier ses déclarations - même sur l'honneur - par l'élu de la coalition qui siège à la mairie, je m'y suis présenté muni de mon attestation... je fus accueilli par une moue dubitative et on m'expliqua que l'attestation de toise ne peut être faite que par la police... j'ai embarqué ma fille dans ma guimbarde et je suis descendu à la BMPJ de la commune d'à coté car la nôtre n'en est pas dotée... on m'a expliqué très gentiment que ça ne relevait pas des prérogative de cette structure mais de sa hiérarchie qui se trouve au chef lieu de Daira... j'y suis allé... on ne m'avait pas menti... le réceptionniste m'a toutefois informé que le responsable habilité à signer les toises était absent et qu'il fallait revenir le lendemain, ce que je fis... et ma fille put enfin passer son inutile concours d'accès (en oral et écrit SVP) à la douane pour rentrer chez nous et attendre ses résultats... Elle attend toujours...
Et c'est en attendant que son attention fut attirée par l'annonce d'un concours d'accès au corps enseignant... C'est ce jeudi qu'elle en a subi les épreuves après avoir, là aussi, constitué un dossier coûteux et payé comme de bien entendu les frais d'examen...
Pour ne pas rater la moindre opportunité de sortir de l'école et du devoir de mettre en rang les élèves devant la cantine, elle a lu quelque part que la mairie de Bouderbala, gros bourg de montagne situé à 50 km de chez nous, lançait un concours pour le recrutement de 4 agents... elle s'y inscrivit... et c'est hier qu'on l'informa que ce concours allait se dérouler à Ouargla... ville située à 509.14 km en ligne droite, 670 par route, de chez nous comme je viens de le confirmer en consultant le site dont je vous donne l'URL pour le cas où vous devriez vous aussi suivre les épreuves qu'on impose à nos enfants et qu'on ose qualifier de méritoire "politique de l'emploi"...
En conclusion, je n'irai pas à Ouargla...
28/2/2014

28 FEVRIER ENTRE FAIRE ET DIRE

 CHRONIQUE DU TEMPS QUI PASSE

Nous sommes le 28 février... il est 2h du matin. L'heure du crime est passée. Les victimes dorment de leur dernier sommeil. Les assassins cuvent leur plaisir ou leurs remords.


C'est en ce jour de 1525 que fut assassiné le dernier empereur aztèque. Il s'appelait Cuauhtémoc (l'aigle qui tombe). Les espagnols qui ont commis cette ignominie n'ont pas eu de remords. C'est le choc des civilisations qui l'a voulu et la leur était plus forte... Vae victis ! aurait crié César.
Hamrouche n'est pas Cesar... il s'est lui même victimisé au moment où on attendait de lui qu'il réagisse en patriote soucieux du devenir de son pays pour lequel il a perdu son père et s'est engagé à 14 ans... mais il faut dire que le patriotisme n'est plus ce qu'il était ou que les "héros" sont fatigués... Hamrouche a, comme Sadi, expédié son devoir de patriote dans une conférence de presse dans laquelle il a dit ce que tout le monde connait... un peu comme s'il se lavait les mains...
C'est le 28 février 1838 que Robert Nelson, leader des "Patriotes", proclama l'indépendance du Quebec... Il aurait pu se contenter d'une conférence de presse pour dénoncer le "système" et annoncer sa chute inéluctable et attendre, lui aussi, cette chute en se cantonnant durant 20 autres années dans une prudente expectative...
Mais si tout le monde peut se targuer de "convictions", on doit reconnaître qu'il y'a ceux qui "font" et ceux qui "disent"...
Ayant constaté que le "système" liberticide voulait perdurer, Hamrouche aurait pu, à défaut de s'insurger autrement que par la litote, faire comme Brecht qui, le 28 février 1933 résolut de s'exiler quand le gouvernement nazi décida de supprimer les libertés civiques.
L'Histoire qui n'est pas ingrate lui aurait réservé une page plus glorieuse que celle à laquelle lui donne droit son passage éphémère comme chef du gouvernement du système qu'il dénonce aujourd'hui et dont il tint le parapluie...
Vous avez dit parapluie ?... C'est le 28 février 1914 que Charlie Chaplin se dévoile sous les traits du personnage qui fit sa gloire dans "Charlot et le parapluie"... mais cet homme qui, contrairement à nos hommes politiques ne savait pas que faire rire, avait aussi l'audace de ne pas prendre des pincettes pour dénoncer à sa manière les potentats. Hitler devait en recevoir pour son grade en 1940 dans "le dictateur"...
Le dictateur Saddam, lui, dut se résoudre le 28 février 1991 à capituler après seulement 11 jours de guerre qui l'obligèrent à quitter sa 18 eme wilaya et à accepter toutes les résolutions de l'ONU concernant le Koweit, même les plus humiliantes, lui qui faisait croire qu'il avait des moustaches...
Olof Palme était imberbe et sympathique. C'était un homme de coeur et de principes; mais il faut croire qu'en ce monde de la perfidie, les hommes de coeur n'ont aucune place puisque cet homme fut assassiné le 28 février 1986...
Autre homme de conviction, barbu celui là, Georges Ibrahim Abdellah, chef des FARL en Europe et qui écopa le 28 février 1987 d'une condamnation de réclusion à perpétuité, peine qu'il subit depuis 27 ans malgré Jacques Vergès qui assura sa défense, Yves Bonnet, patron de la DST de l'époque qui trouve scandaleux que Papon fut libéré et pas G.I.Abdelah et malgré tous les appels à sa libération qui émanent de partout en hexagonie où le CRIF s'avère plus écouté que tout le monde...
Ahmadou Ahidjo lui, était plutôt un homme du folklore post indépendance et du néo colonialisme français qui a vu proliférer les Tombalbaye, Senghor, Bokassa, Ould Dadah et autres ubus en Afrique... non content d'avoir abandonné le pouvoir au profit de Paul Biya, il alla comploter contre lui... résultat des courses (au pouvoir), son dauphin le fit condamner à mort, le 28 février 1984. Par contumace bien sûr car le digne libérateur du Cameroun avait trouvé refuge chez son ami Senghor et en "mère-patrie"...
Les luttes pour le pouvoir faisaient rage aussi en Egypte en ce 28 février 1922 où les britanniques décident de rendre l'Egypte indépendante, l'exposant aux rivalités du Sultan Fouad 1er et du Wafd, ce qui permit aux britanniques de rester maîtres du pays et surtout de son canal...
Le 28 février c'est aussi la démission en 2013 du pape et qui devrait servir de leçon aux hommes qui, malgré leurs handicaps, s'accrochent toujours à leurs fonctions... c'est encore la naissance de Pagnol en 1895 et le décès de Lamartine en 1869...
C'est enfin le 44e anniversaire d'un homme qui savait courir: Noureddine Morcelli et c'est à cette date en 1957 que l'antihéros Gaston Lagaffe fit son apparition... Gaston qui a fait un émule en la personne de Sellal qui a tout intérêt à tourner sept fois sa langue de bois avant de s'escrimer à s'exprimer pour défendre son candidat à la 4e 3ouhda car à chaque fois qu'il ose faire usage de sa langue fourchue, c'est pour remplir de sarcasmes les réseaux sociaux... et ce n'est pas le fait de faire du 28 février une journée sans Facebook qui atténuera les franches rigolades qui suivent ses réparties...
28/2/2014

CONDITIONNEMENT TOUS AZIMUTS


Nous sommes le 27 Février et il est 1 h 40 du matin...
Ça dort ferme et le silence est propice aux méditations... mais pourquoi méditer et que pouvons nous éjaculer d'autre de nos cogitations solitaires que jets d'amertume devant les impérities de notre quotidien...



Vous allez me dire que ce sont des gros mots et je vous répondrai que nous n'éprouvons pas des petits bobos pour nous contenter de ne pas trop en dire puisqu'il est dit qu'à raconter ses maux on les soulage... Et ce n'est pas Pavlov qui m'aurait contredit.
Pavlov est mort le 27 février 1936. Il obtint le prix Nobel de médecine en 1904 et fut surtout connu pour ses expériences sur les réflexes conditionnés. Je ne sais pas si on peut remplacer son chien par la foule mais à voir comment elle réagit aux stimuli des défaiseurs d'opinion, je trouve que la foule qui est un ensemble d'individus réagit avec la force du nombre à ces stimulus et développe elle aussi des réflexes qu'on peut conditionner à merci... c'est toute la science de la communication de masse et de la propagande, science qui, en période électorale, trouve à s'appliquer à grande échelle...
C'est dans le cadre du conditionnement des masses que fut perpétré le 27 février 1933 l'incendie du Reichstag que Göring mit sur le compte des communistes sans en donner la preuve...
Le procédé est connu; il faut espérer qu'on ne nous le sorte pas de quelque sanglante manière pour nous pousser instinctivement à migrer comme gnous et hamsters vers les chapelles qui nous paraîtront sécurisantes... bref, qu'on ne nous réinvente pas le "vote refuge" qui reconduit, sous prétexte d "Allah la izid kthar" les systèmes incongrus...
C'est vrai que la gestation est douloureuse et que la montagne peut nous accoucher d'une souris et le risque est grand de voir BHL rappliquer pour nous concocter un perfide printemps au prochain printemps. Déjà qu'avec la sortie de Saidani on a cru entrevoir une sorte de "campagne aux 100 fleurs" comme celle que lança Mao le 27 février 1957 et à l'issue de laquelle le retour de manivelle fut des plus douloureux pour le peuple qui s'est laissé convaincre des volontés de réforme du système...
Amara Benyounès qui a le vent du pouvoir en poupe après avoir emprunté le rafiot de la contestation avec son ami Said Sadi illustre un peu ce réflexe conditionné en politique.
Il est aujourd'hui l'un des thuriféraires attitrés du président et, tout comme Sellal, il en arrive à défendre l'indéfendable...
Mais ce n'est pas la première fois que des hommes jouent aux girouettes... il faut se souvenir de l'immense écrivain que fut John Steinbeck, né le 27 février 1902 qui, après avoir écrit "les raisins de la colère" et s'être mis résolument aux côtés des opprimés, finit par approuver l'oppression menée par son pays contre le Vietnam.
"Ce n'est pas la girouette qui tourne, c'est le vent" disait Edgar Faure...
Le vent a tourné le 27 février 1976 en république Sahraouie où on déclare unilatéralement l'indépendance après le retrait de l'Espagne... mais c'était compter sans les velléités annexionnistes de Hassan II et la perfidie de l'Espagne qui lui rétrocéda un territoire dont elle n'était pas propriétaire mais simple usufruitière de fait et non de droit...
C'est le 27 février 1913 que le droit français mit fin au procès de la Bande à Bonnot par la condamnation à mort de la plupart des survivants et leur exécution en avril suivant... parmi les condamnés, un certain Dieudonné dont la culpabilité n'était pas certaine et qui vit sa peine commuée en travaux forcés à perpétuité.
En dépit de ses actes sanglants, cette bande avait acquis la sympathie de tout un monde dans lequel on allait trouver les "enragés" de mai 1968 qui donnèrent le nom de son chef à une salle de la Sorbonne qu'ils occupèrent...
Nos bandes de flibustiers à nous n'ont pas la sympathie de ces bandits; ils se recrutent dans le monde des affaires d'état et quand ils finissent par tomber, ce sont les lampistes qui écopent; les caïds eux, ont tout le temps d'aller se planquer outre mer...
27/2/2014

EL MOURADIA N'EST PAS SAMIRA TV

  CONSECRATIONS SANS MERITES... Je n'ai pas l'honneur de connaître tous les sénateurs, heureux élus du tiers présidentiels, ni les a...