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samedi 17 octobre 2020

AFFICHES ELECTORALES: UNE POLLUTION VISUELLE

 


COMMENT TAIRE ?


AFFICHES ÉLECTORALES: UNE POLLUTION VISUELLE

Je ne connais pas les prescriptions de la Loi Électorale ni les prérogatives de la Commission Chorfi... parce que c'est le dernier de mes soucis mais si on pouvait m'écouter, je suggérerais qu'on ajoute quelque part, n'importe où, un article disant que dorénavant il sera interdit à tout candidat de toute élection de recourir à l'affichage de sa tête de lune ailleurs qu'à l'intérieur de sa permanence électorale.
D'abord parce que ces costumes boutonnés ou ces tailleurs cachant mal de désagréables rondeurs et ces poses ne valorisent pas du tout ces brigueurs de suffrages...
Ensuite parce que pour se porter candidat on doit être assez médiatisé pour ne pas avoir à étaler sa tronche même sur les panneaux indicateurs de stops, de virages dangereux ou d'impasses...
Ensuite aussi pour éviter de prendre ces candidats en flagrant délit d'usage de faux car ils collent rarement des portraits récents... on l'a vu avec M. Bouteflika pour lequel on ramenait des photos d'il y'a 50 ou 60 ans...
Ensuite pour une question de serrage national de ceinture... rana fi taqachouf walla battalna ? et ces forêts de papier qu'on gaspille pourrait nous servir par exemple à éditer tous les manuscrits qui dorment dans les tiroirs...
Enfin, par respect pour notre environnement et à ce titre, je vous donne à voir cette photo que j'ai prise à Sour El Ghozlane... Elle représente Bab Dzayer... et vous pouvez voir de vous-même comment elle a été maltraitée par ces affiches électorales... Ne me parlez pas des détritus qui jonchent le trottoir... ces incongruités seront évacuées par la prochaine pluie, contrairement à ces affiches qui résistent à tout et auxquelles vont venir s'ajouter d'autres mochetés du même type à chaque consultation électorale...

LES SOLDATS ALGÉRIENS DES DEUX GRANDES GUERRES NE SONT PAS MORTS POUR LA FRANCE...

Nous sommes donc le 17 octobre et c'est la journée de l'aubergine mais je ne vais pas trop m'y étaler car je n'ai pas d'affinités particulières avec ce légume que je n'apprécie que pour son prix de pleine saison, sa faculté à remplir le panier à provisions et son gratin...

J'en dirai aussi que si chez nous il est généralement noir, j'ai vu à l'ouest du pays qu'il est tout blanc...et j'arrête d'en parler pour aborder un événement qui colle tragiquement à cette journée: les manifestations des Algériens en France en 1961 et leur féroce répression sous la férule du préfet Papon que personnellement j'ai considéré innocent car la culpabilisation de ce simple commis de la France coloniale innocenterait du coup l'hexagone de la vaste et indigne entreprise assumée sans regrets jusqu'à ce jour, en faisant de ses ignominies systémiques des actes isolés pour ne pas dire des bavures...
Mais le sujet va être comme d'habitude l'objet de beaucoup d'écrits plus documentés et mieux illustrés que tout ce que je pourrais en dire; je le laisse donc à ceux qui peuvent mieux le traiter...
Je préfère pour ma part susciter un autre sujet d'histoire qui concerne un algérien oublié du peuple et de l'Etat... un prince nommé Mohamed Gherainia, né comme Ali la Pointe à Khemis Miliana et mort et enterré avec les honneurs à Slobozia, en lointaine Roumanie...
Cet homme, pharmacien de son état dort dans un cimetière de cette ville sous le drapeau tricolore de la France coloniale qui affirme qu'il a combattu pour elle alors que sa lutte contre les nazis visait à libérer l'homme et non la France...
Il serait juste qu'au lieu de condamner encore un Papon, simple exécutant d'une politique d'Etat, nous réhabilitions la mémoire de ce héros issu de nos rangs en lui redonnant une algérianité qu'il n'a pas connue et en déniant à la France coloniale le droit d'en faire un héros de sa propre cause...
On devrait commencer par connaître son histoire et finir par lui réserver un mémorial digne de son combat et donner son nom à un village, une place, une cité, un bateau afin que la mémoire collective conserve son nom...
VOICI SON HISTOIRE TIRÉE COMME DE BIEN ENTENDU DE DIFFÉRENTS SITES...
Lors de la Première Guerre mondiale, le royaume de Roumanie, un des pays Alliés, est envahi par les troupes allemandes en fin d’année 1916. Très vite, les ressources du pays sont exploitées par l’occupant (agriculture et pétrole).
Afin d’assurer la production agricole, les Allemands y envoient de nombreux prisonniers de guerre français et plus particulièrement des troupes originaires d’Afrique du Nord
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Durant les hivers rigoureux de Roumanie, les prisonniers ne reçoivent de l’occupant que de la soupe claire et pas de vêtements chauds leur permettant de résister au froid .
Malgré les réquisitions auxquelles ils sont eux-mêmes soumis, les Sloboziens tentent, par la Croix-Rouge locale, de nourrir et vêtir ces prisonniers affaiblis et frigorifiés, mais les soldats de garde prennent la moitié des dons, et la mortalité décime les prisonniers comme en témoignent les nombreux carrés militaires français de Roumanie, dans tous les lieux où les Allemands ont établi des camps de prisonniers.
Mohammed Ben Mohammed Ben Djilali Kerainiya est né le 5 juillet 1891 à Affreville, dans le département français d'Alger (aujourd'hui Khemis Miliana, en Algérie). Il s'agirait d'un descendant de deys ou de kadis, le fait n'étant pas certain, mais pour les Roumains, cela équivaut à un titre princier.
Il a obtenu, avant la guerre, une licence de pharmacie à Paris mais, étant algérien, c'est en tant que soldat de deuxième classe qu'il est incorporé le 14 octobre 1914 dans un régiment de Tirailleurs algériens. Il participe aux combats sur le front occidental et, en 1916, il est fait prisonnier puis envoyé en Roumanie.
En tant que pharmacien, les autorités allemandes le nomment médecin du camp de Slobozia, responsable de l’ensemble des prisonniers nord-africains et sénégalais. Il pratique également en ville, sous escorte, compensant le manque de moyens médicaux pour les civils. Il gagne alors, par son implication, son surnom de « prince Algérien » auprès des Roumains.
En septembre 1918, il apprend par un officier autrichien que les troupes françaises approchent. Mohamed monte alors, avec Drăgan, chef de la résistance roumaine, un plan le libération du camp et de la ville pour le cas où l’Armée d’Orient arriverait en Roumanie.
C’est dans ce cadre qu’intervient sa mort, dont les détails ne sont pas établis.
D’après Cultul eroilor noștri paru en 1924, c’est lors d’une sortie pour rencontrer la résistance, qu’il est surpris par une patrouille allemande, probablement en chasse après lui. Blessé par un tir, il crie alors « Roumains ! Nos frères s’approchent ! Roumains ! ». Il est alors abattu, ou bien capturé et fusillé peu après par un peloton d'exécution.
Slobozia et son camp seront libérés par l'armée roumaine moins d'un mois après la mort du « Prince »


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Plusieurs monuments à la mémoire de Mohamed Gherainia sont visibles à Slobozia.
Sa tombe est située dans le cimetière des héros (aménagé en 1932), dans la rue Eternității (de l'Éternité) n° 2. Elle est surmontée d’un obélisque.
Un monument érigé en ville sur le lieu de son exécution est toujours visible. Celui-ci porte la mention suivante, en français et roumain :
« Ici a été fusillé par les Allemands le 14 octobre 1918, le prince arabe Mahomed Gherainia victime de son dévouement pour la France et la cause des alliés. »
17/10/2015

PAPON EST INNOCENT !

 Si les sionistes ont intérêt à jeter l'opprobre à intervalles historiques réguliers sur les nazis et collaborateurs afin de régénérer ce complexe de culpabilité de l'Occident qui les a si bien servis, qu'allons nous en retirer, nous Algériens, qui, à leur traîne, voulons faire admettre que Papon fut un préfet tortionnaire et un ministre de l'intérieur jeteur d'immigrés dans la Seine...

Mais tous les préfets de France et de Navarre durant la colonisation furent des Papon, Messieurs-Dames !
Tous les ministres de France et de Navarre durant la colonisation furent des Papon t
Et Papon qui a compris son rôle de victime propitiatoire sur l'autel du sionisme et de déculpabilisateur de certaines causes l'a si bien dit: " tous les secrétaires généraux de préfectures de France ont fait ce que j'ai fait... "


Comprenez donc qu'en imputant à Papon les ratonnades et les noyades du 17 Octobre 1961 on rend un très grand service à la France coloniale qui voit une des pages les plus noires de son histoire réduite à une simple décision mal placée d'un de ses servants...
A ce rythme, la colonisation finira par être assimilée à une suite de bavures et la Révolution à une suite de contrecoups de ces bavures, alors que ce furent des moments d'Histoire où des causes se sont opposées et où à l'injustice, la cruauté et l'inhumanité de l'une s'est opposé la justesse du combat et sa noblesse de l'autre...
De grâce, arrêtez d'essuyer les couteaux sanglants des mauvaises causes sur les paletots poussiéreux de sénescents fonctionnaires qui n'ont fait que les servir en exécutant avec zèle les missions qui leur ont été confiées...
Ces gens-là n'ont fait que " leur travail " !
Ils n'ont fait qu'exécuter une politique et c'est cette politique qui doit être condamnée, pas ceux qui étaient désignés et payés pour l'appliquer...

LA FRANCE N'A AUCUNE LECON A NOUS DONNER.

 En Janvier 2011, au moment où on avait décidé d'entamer les "printemps arabes" par notre pays, Algérie-Confluences m'a publié ce texte... je vous le donne à relire à l'occasion de ce 17 octobre...




INCORRIGIBLE FAFA !...
« La France souhaite que les manifestations en Algérie puissent se dérouler 'librement et sans violence', a indiqué, lundi, le ministère des affaires étrangères. ».
Les Agences de Presse…
Incorrigible Fafa !...
Ces vieux résidus du « temps béni des colonies » ne veulent décidément pas faire leur deuil de la perte de leur autorité sur notre pays et notre peuple
La France n’a en réalité rien à souhaiter, rien à dicter, rien à ordonner… L’hymne de ce pays écrit dans l’épreuve de notre lutte pour notre émancipation n’a pas été amputé comme elle le souhaitait, du passage oh combien éloquent qui dit :
Ô France ! le temps des reproches est révolu
Nous l'avons refermé comme on referme un livre.
Et puis, voyez quelle perfidie se cache derrière cette phrase sibylline !... le blanc seing à l’émeute revêt presque le caractère de l’exhortation… et comme à son habitude, Fafa sait se faire "maternaliste" en «civilisant ces indigènes à la sauvagerie décidément génétique puisque 130 années n’ont pas suffi à leur donner la sagesse et la tolérances des peuples «évolués»…
Çà ressemble un peu trop au conseil d’une mère poule à ses rejetons : «vous pouvez jouer mais faites attention à ne pas vous salir ou vous blesser…»
S’il nous restait un peu de notre « nif » séculaire, pouvoir comme opposition, nous déposerions nos pancartes et nos matraques et, zkara fi frança, nous dirons puisque «dakhalti lazek binatna, hana battalna !...»
Parce que s’il y’a bien un pays qui n’a pas de conseils à donner en matière de gestion des humeurs du peuple c’est bien la France du Général Duval, du sous-préfet Achiari et de Maurice Papon… des enfumades, du napalm, des ratonnades et des corps jetés dans la scène, des humiliations et des exécutions sommaires.
La France qui fit des manifestations du 8 mai 45 une «open season» comme le rapporte la chronique de l’époque :
"Les milices exécutaient par groupes de 20 ou 30 personnes. Avant la fusillade, les victimes devaient creuser leurs tombes. Les prisonniers sont transportés en dehors de la ville, à Kef El-Boumba, près d’Héliopolis, où ils sont abattus en chaîne. Des corps arrosés d’essence sont brûlés sur la place publique ou dans les fours à chaux. Des groupes entiers de prisonniers, enchaînés et alignés, sont écrasés par les roues de chars, des nourrissons sont pris par les pieds pour être projetés contre les rochers. Les blindés et l’artillerie, aidés par l’aviation, pilonnent toutes les « zones de dissidence ».
Et au lendemain de ces manifestations pacifiques qu’elle avait réprimées dans le sang, organisait «des cérémonies de soumission où tous les hommes doivent se prosterner devant le drapeau français et répéter en chœur : « Nous sommes des chiens et Ferhat Abbas est un chien »
Non, par décence, la France devrait se taire…
Nombre d’acteurs des manifestations du 17 octobre 1961 et de l’Affaire de la station de métro Charonne, le 8 février 1962 sont encore de ce monde et ils ne comprendraient pas qu’elle puisse avoir l’outrecuidance de parler de liberté et de non violence à un peuple auquel elle a dénié ces valeurs avec le cynisme et la brutalité qu’on lui connaît...


DAVID ET GOLIATH

DAVID ET GOLIATH



le monde dit "musulman" et le monde dit "arabe" n'existent pas... je le sais... j'y vis !...
Ces mondes ont été inventés de toutes pièces pour construire un Goliath impotent qui donne l'impression d'en vouloir à mort au petit David afin de lui attirer la sympathie de l'Occident et de le surarmer...
Ces mondes ont été conçus pour être neutralisés par leurs seuls antagonismes internes. Et c'est pour le grand bien de ceux qui exploitent ces antagonismes pour piller leurs richesses et brider leurs volontés de développement...
C'est la même perfide Albion qui a enfanté Balfour et qui a créé la "Ligue Arabe"...
C'est vous dire !
17/10/2017


2019


Youcef Guidoum :- les arabes " se sont arrangés pour ne pas s'arranger...."

Menouar Meslem :- C est vrai et c est expliqué en peu de mots

Salima Mecif Pat Been :- Et '' l'Occident '' ou le monde occidental ?

Moh Moh :- L'Islam est ancré en Kabylie tel un arbre dont les racines remontent à 14 siècles. Je suis de la Kabylie. J'aime l'Islam et mes enfants aiment plus que moi l'islam et je les adore rien que pour ça. Rabbi yehfadh bladna

Abdelouahab Derder :- C'est bien ce qu'on n'arrive pas, ou qu'on refuse de comprendre. C'est valable aussi pour tant " d'unions" qui désunissent !

Redouane Assari :- Le monde arabe ce fut un empire puissant et dominateur (pour vaincre au même moment le Duc d'Aquitaine et l'armée chinoise à l'autre bout du monde il fallait bien l'avoir été) puis une aire économico-culturelle qui fut pendant des siècles au carrefour du monde. Ce n’est pas rien, il ne faut pas tomber dans le dénigrement. Si le monde arabo-musulman s'est effondré c'est parce qu'il a perdu sa puissance économique avec son rôle de carrefour du monde. Sans doute que ses dirigeants politiques ont fait de grossières erreurs (divisions politiques, rivalités ethniques, aveuglement économique, fanatisme religieux...). Quand on pense que les Ottomans refusaient de négocier avec les Occidentaux alors qu'ils avaient le monopole du négoce des très convoitées épices, ce qui a poussé les seconds à chercher et trouver des routes maritimes, puis qu'ils ont interdit l'usage de l'imprimerie et du livre par fanatisme religieux stupide, on a une idée sur la question. Reste que ce "monde", homogène, n'aurait pas pu maintenir sa domination ni éviter sans doute son effondrement pour de banales questions de ressources agricoles, forestières (pour construire des bateaux océaniques), minières et surtout humaines, l'Empire ottoman manquait de population tout simplement. En fait les habitants de cette aire souffrent aujourd'hui du contraste entre leur puissance et leur richesse passées et leur faiblesse et leur pauvreté actuelle. Une pauvreté qui correspond mieux en vérité à leur situation géographique réelle de régions arides et désertiques que le pétrole et le gaz ne compensent absolument pas. Ces populations malheureuses souffrent d'une névrose collective qui ne peut se résoudre que par l'étude comparée de leur histoire et de leur géographie. Ensuite ils accepteront mieux la réalité et arrêteront de se haïr et de haïr les autres.

Atmane Chennine :- le monde Arabe ç faux n'existe pas mais le monde musulman existe bel et bien tout comme le monde juifs

Rebecca Bourahla :- tristement vrai! les malfrats qui nous ont précédés, se sont faits comme des RATS de labo

Moh Moh :- 17 أكتوبر 1961 يوم رمت فرنسا بالجزائريين في نهر السين رحم الله شهداءنا الابرار

EL MOURADIA N'EST PAS SAMIRA TV

  CONSECRATIONS SANS MERITES... Je n'ai pas l'honneur de connaître tous les sénateurs, heureux élus du tiers présidentiels, ni les a...