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samedi 24 avril 2021

LA FRANCE A UN HYMNE QUI LUI VA TRES BIEN

 Nous sommes le 25 avril ...

Les français doivent s’être réveillés avec une belle gueule de bois après le scrutin qui va porter Macron à la présidence de leur république.


Une république qui ressemble de plus en plus à un géant à tête de nain et qui risque à court terme de perdre toutes les valeurs humaines qu’elle prétend hériter de sa Révolution sous les coups de boutoirs de ses intolérances qui détonnent avec les slogans consacrés de Liberté, Egalité et Fraternité, et ne rien conserver de la puissance qu’elle a gagnée de sa propre transgression de ces valeurs en s’en allant guerroyer très loin de ses frontières à chaque fois que l’occasion lui fut donnée…
Le coq français a aujourd’hui le cocorico enroué après les traitements qui furent administrés au pays de Giono et Pagnol par les Sarko et Hollande qui n’avaient ni l’envergure requise pour diriger ce grand pays (d’arts et de culture aussi), ni la force de lui arracher son indépendance face aux amis requins et au puissant lobby sioniste qui fait et défait les gouvernements dans cette Hexagonie qui a perdu son âme et ses ressorts et que ne parviendra plus à galvaniser même sa Marseillaise…
La Marseillaise qui connut sa première composition par Rouget de l’Isle le 25 avril 1792 sous le titre de Chant de guerre pour l'armée du Rhin. Rouget de l’Isle qui aurait pu, en voyant Sarko et Hollande se mettre au garde à vous devant son chant, leur écrire comme il l’avait écrit à Bonaparte : «Vous vous perdez, et ce qu'il y a de pire, vous perdez la France avec vous ! »
L’histoire rapporte toutefois que lui aussi faillit perdre la tête car en guise de reconnaissance pour avoir écrit le plus belliqueux des hymnes nationaux du monde que Graeme Allwright s’est proposé même de convertir en chant de paix, je disais qu’en guise de reconnaissance, Monsieur Rouget de l’Isle avait failli se faire guillotiner quand il osa défendre la «monarchiens» en 1795…
C’était chose aisée que de couper les cous en ces temps là puisque on venait le jour même c'est-à-dire le 25 avril 1792 de mettre à l’épreuve la machine à Monsieur Guillotin qui disait d’elle à un député qui en contestait l’efficacité : "Avec ma machine, je vous fais sauter la tête en un clin d’œil, et vous ne souffrez point."
Pour rappel, le premier supplicié de la veuve fut monsieur Jacques Pelletier, un voleur qui, sous d’autres cieux réputés plus féroces n’aurait eu tout au plus que la main tranchée à l’épée parce qu’on n’a pas eu l’idée, ou le génie, d’inventer une machine à amputer en douce là où les grands voleurs devant l’Eternel appellent à punir ceux qui s’en prennent à leurs biens mal acquis par l’ablation de la main…
Pour rester en France et toujours au sujet de sa révolution et de l’invention de monsieur Guillotin, et aux dire du bourreau du roi Louis XVI, Charles Sanson, ce furent 13800 têtes qui roulèrent dans la sciure entre 1792 et 1795…
Mais toutes les révolutions ne sont pas aussi sanguinaires…
Celles du 25 avril 1974 au Portugal fut même conduite la fleur au fusil et prit le nom de Révolution des œillets, faisant en tout et pour tout… 4 morts… Certainement moins que "le putsch d’opérette" commis par les généraux à Alger… et encore moins que la "Gerboise Verte", qu’on fit exploser à Reggane le 25 Avril 1961 après l’avoir évacuée d’Alger… en 2CV… afin fut-il dit, qu’elle ne tombât pas entre les mains des putschistes, ce qui aurait imprimé une toute autre direction à l’Histoire…
Mais avec des « si », on mettrait Paris en bouteille… n’est ce pas?
25/4/2017

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