Mohamed Adjou
Messaoud Kherrat: - Très juste
Abbes Kader :- Pas faux !
Djaafar El-Baranqui :- A Oran, ils ont choisi un Vendredi à la mi-journée ; Tous les brigands de St Pierre, St Antoine, Miramar et de nulle part ailleurs ont mis à sac la rue L. Ben M’hidi (ex rue d’Arzew). Il n’y avait ni manipulation, ni engagement politique, ni revendications populaires. Les victimes étaient des simples citoyens...
Toufiq Zioui :- Chacun a sa lecture de ces jours là. Moi c’était ma deuxième année de fac, Bab Ezzouar, mon initiation à la culture syndicale et surtout aux assemblées générales où la prime était donnée à chacun pour s’exprimer. Cela allait de il faut soutenir nos frère à la proposition de mettre ouverte au président. La rencontre avec Che Guevara un étudiant qui selon la légende traînait depuis des années, un leader de l’opposition. J’y ai découvert des gens du PCA, de la mouvance d’Ait Ahmed pas encore le FFS. C’était le Graal! Il y avait des voix qui parlaient de manipulations, les ouvriers de la Sonacome qui assistaient et nous demandaient de les soutenir. Bref, ce fut tout mais sûrement pas futile ou inutile. Ce fut mon « initiation ». Je comprenais enfin pourquoi on avait construit cette université si loin d’Alger centre. Je comprenais pourquoi aucune école ou institut ne pouvait rivaliser avec une université.
Salima Mecif Pat Been :- C'était le début de la décadence programmée du pays.
Zahra Mansourah :- Bonjour Med , j'ai assisté ,et me souviens du lendemain de ce maudit jour, où tout n'était que désolation . Et ce qui s'en est suivi nous a plongé dans l'enfer et nous le payons encore. Excellente journée.
Lyes Guelai :- La poussée d'anarchisme comme tu dis n'était pas spontanée, mais le fruit des années de préparation de ceux que tu traites de pantouflards phraséologiques
Mohamed Titouche :- Ce jour la j ai vu tous les affamés et les voyous délester tous les biens publics j’avais déjà pigé que c était une contre révolution entamée par le nouveau régime et ses soi distantes réformes en douce.