Rechercher dans ce blog

samedi 18 avril 2020

LES MOULINS A PAROLES


COMMENT TAIRE ?

Moi je souhaite de tout coeur que les "moulins à paroles" soient pris au mot et que le peuple les investisse de fonctions exécutives officielles...

L’image contient peut-être : texte qui dit ’BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA BLA QLA BLA PLA A PARCLES’Nous allons voir ce que les Bouchachi, Tabou, Assoul, Ali Yahia, Sofiane, Benbitour, Boumala , Derradji, Yahiaoui, Bensedira etc feront quand ils se retrouveront confrontés à la réalité de la gestion directe de la chose publique...

Gal Said Sadi un jour "l'Islamisme c'est comme la mort, on en fait l'expérience une seule fois" et moi je dirai que "l'épreuve de la gestion c'est la mort politique des moulins à paroles, il n'en feront l'expérience que quelques mois"....

Nous avons vu ce que les dents longues aux langues trop pendues ont démontré en passant du confort de la critique à l'art difficile de la gestion... les Boukrouh, Khalida, Ghoul, Ould Ali, Belkhalfa, Louh...

Wallah que ce sera un des meilleurs spectacles que nous aurons à voir quand se poseront les équations à plusieurs inconnues de la gestion à ces hommes et femmes qui n'ont appris dans leur cursus scolaire que la résolution des opérations élémentaires de l'arithmétique et qui n'ont pratiqué tout au long de leur vie politique que l'art de vociférer, l'oeil rivé sur leur miroir reformant et l'oreille tendue vers les applaudissements de la foule qu'ils veulent subjuguer...
19/4/2019


Aissa Lamri :- Pourtant, tu es passé maître dans le bla-bla khoya Mohamed Adjou. Tu veux nous faire croire que Sidkoum Said, Saidani et toute la racaille qui nous dirige, sont meilleurs de meilleurs gestionnaires que nos Bouchachi, Assoul, Abdelaziz Rahabi et tous les autres ? Wa3lach ya kho wach dernalec bach tahgued a3lina hakda ?...Wella tu fais dans la provocation, juste pour nous écœurer ?

Réponse de Seffih Zoheir perdue après suppression de son compte FB

Aissa Lamri :-  Seffih Zoheir, sbah el khir ya wedj'h el khir ! Wach tu es en mission ? Mohamed Adjou est assez grand pour se défendre tout seul, et il n'a sûrement pas besoin d'intermédiaires pour semer la zizanie entre lui et ses amis de facebook. Lui, ne m'aurait jamais répondu sur ce ton. Nos échanges ont toujours été cordiaux, amicaux et ludiques. Enta wach dakhlek binatna yerham babak ??? Ou as-tu décelé de la malhonnêteté dans mes propos ? J'ai utilisé la même onomatopée (bla-bla) que Mohamed...c'est ce que tu trouves malhonnête ? Je ne suis ni agressif, ni j'ai la rage, sinon, j'aurais consulté un vétérinaire !
Mohamed Anjou :-  Aissa Lamri Vous m'inquiétez très sérieusement vous !... J'ai parlé de Sidi Said, Saidani et les autres ?... Zid bezyada, ai je seulement un jour fait comprendre que je me propose de remplacer quelqu'un dont je critique la gestion ? Je crois que je vais changer de langage...

Mohamed Adjou :-  Aissa Lamri je vous aurais répondu de manière plus agressive que Zoheir parce que j'en ai par dessus la tête de vos étiquettes... Je vous demande gentiment de répondre sans viser ma personne... J'ai comme vous un nom, une famille, des amis etc...et je NE SUIS PAS UN HOMME PUBLIC...

Mohamed Anjou :-  Seffih Zoheir je peux même ajouter qu'au moment où certains discutaient foot ou chanson, sculpture ou cuisine, je disais des choses pas très gentilles de ces gens là alors qu'ils avaient gloire, pouvoir et argent...

Youcef Guidoum :- wallah ya Mohamed Adjou ghir j'aurais tenu les mêmes propos ! un éventail d'individus se mettent en avant pour nous pousser à les faire désigner par le peuple dans ce qui pourrait être la gestion d'une éventuelle future transition ! C’est à dire se débarrasser d'une " famille " de mafieux pour y installer une autre composée d'autres qui une fois imprégnés du goût au pouvoir ils construiraient une autre autrement plus vorace......! et j’en ai la nette impression !

Mohamed Adjou :- Youcef Guidoum je ne dirais pas qu'ils veulent remplacer des forbans pour faire à leur tour les forbans... je dis qu'il faut avoir la décence de ne pas se prendre pour des gens sans peur, sans reproches, de parfaite droiture et compétence... j'admets qu'on se fasse choisir mais qu'on se choisisse soi-même m'inquiète, me révolte et me donne la nausée... c'est un défaut très bouteflikien...

Aissa Lamri :-  Mohamed Adjou, si je comprends bien, vous, vous avez le droit d'étiqueter les gens et de dire qu'ils ne sont que moulins à vent et quand on vous répond, c'est une agression contre votre personne ? Perso, je suis en mode "révolution" et tout commentaire ou insinuation contraire, je le perçois comme une agression et il est de mon devoir d'y répondre, dans le respect et la convivialité. Je vois que vous êtes en train de tomber dans le piège de "j'ai raison et pas les autres" et je préfère vous laisser avec certitudes. Je ne vous commenterai plus, mais je continuerai de vous lire avec le même plaisir qu'avant.

Youcef Guidoum :-  Mohamed Adjou c'est mon avis, absolument ! mais j'ajoute qu'ils feraient comme leurs prédécesseurs si ce n'est pire, car les honnêtes gens ne se vendent pas ils se choisissent.....!

Aissa Lamri :- Mohamed Adjou, sérieusement vous n'avez pas parlé de Sidi Said et consorts ? Vous visez qui quand vous dîtes : "Nous allons voir ce que les Bouchachi, Tabou, Assoul, Ali Yahia, Sofiane, Benbitour, Boumala, Derradji, Yahiaoui, Bensedira etc feront quand ils se retrouveront confrontés à la réalité de la gestion directe de la chose publique…" ???...La réalité de la chose publique, est entre les mains de qui aujourd'hui ? Ce ne sont pas tout ces minables qui nous dirigent aujourd'hui ? Et vous, vous ne trouvez rien d'autre à nous dire que de casser du sucre sur le dos de ceux que la "vox populi" est en train de mettre en avant. Ou avez vous vu qu'ils se sont autoproclamés ? J'aurais aimé voir votre nom sur cette liste d'autoproclamés. Vous y avez votre place. Vous êtes une homme comme on en fait pas beaucoup. Digne, fier, d'une grande droiture et vous auriez fait un grand serviteur de cette Algérie, meurtrie, violentée et pillée au vu et au su de tout le monde. Dommage !

Mohamed Adjou :- Aissa Lamri je n'ai plus à me justifier ni devant vous ni devant personne... lisez ce que vous voulez et comme vous voulez... vous me fatiguez avec vos insinuations... Sobhane Allah !!!! j'ai dit qu'avec ces couillons que vous citez la chose publique est bien gérée ??

Aissa Lamri :-  Mohamed Adjou, c'est ce que moi j'ai compris et je ne vous demande pas de vous justifier. Si j'ai quelque chose à vous demander, ce serait de laisser, ceux qui le veulent, vous apporter la contradiction sans vous emporter. C'est un échange virtuel et comme vous le savez, certains propos peuvent être mal interprétés.

Mohamed Adjou :- Aissa Lamri je ne refuse pas qu'on me contredise, je refuse qu'on me prenne à partie personnellement au lieu de discuter de mes idées... Vous avez la fâcheuse tendance de parler de ma personne et de me reprocher mes sympathies ou mes antipathies...

Aissa Lamri :- Je ne vous ai, à aucun moment, pris à partie. Même si je ne supporte pas le fait que quelqu'un comme vous ne dise aucun mot gentil en faveur de la révolution du peuple. Je comprends votre scepticisme, mais je ne le partage pas, d'où mes réactions à contre sens. Soyez indulgent avec moi et surtout avec ce peuple.

Mohamed Adjou :- Aissa Lamri Vous continuez... je regrette de devoir vous dire que j'arrête toute discussion avec vous... désolé !

Aissa Lamri :- Oups ! qu'est-ce-que j'ai dis encore ???

Aissa Lamri :- Et vous Seffih Zoheir, vous brassez quoi ? Arrêtez de faire mousser votre acolyte. Soyez neutre.
Mohamed Adjou :- Sans commentaire

Acolyte :  nom 1. RELIGION Clerc élevé à l'acolytat, dont la fonction est de servir à l'autel. 2. PÉJORATIF Compagnon complice. Le gangster et ses acolytes.’

Aissa Lamri :-  Mohamed Adjou, il va falloir prendre une tisane" Tu veux coûte que coûte m'enfoncer Wella wach ? Voilà ce que dit le dictionnaire des synonymes : - 21 synonymes
adjoint-e, affidé, aide, ami, associé-e, auxiliaire, camarade, collègue, compagnon, comparse, compère, complice, condisciple, confrère, connaissance, copain, labadens, partenaire, servant, subalterne.". il n'y a ni bandit, ni gangster, ni en encore moins, maffieux !!!...Je ne suis pas et je ne serai jamais une nouvelle "Krapula" pour toi. J'ai beaucoup de respect pour toi, crois moi. Ne fait pas trop confiance à ton acolyte Seffih Zoheir.

Said Mandi :-  je préfère l'échec de ceux que je choisirai librement que la réussite de ceux qu'on m'imposera par la fraude. Il faudrait que les personnalités que vous avez citées, revendiquent leur droit d'imperfection.

Mohamed Adjou :-  je ne savais pas que vous les aviez choisies librement... je n'ai pas vent de l'organisation d'un scrutin ou d'un sondage... je dois avoir raté quelque chose... je me disais que ces gens là se sont, à ce jour, auto-proposés...

Said Mandi :-  lorsque j'ai parlé de choix, je ne parlais pas forcément de ces personnalités mais plutôt de celles que nous allons élire, plus tard. Je ne suis pas adepte des autoproclamés et encore moins des charognards de la politique. Faire confiance à quelqu'un n'est pas une tare. C'est juste croire en des idéaux qui correspondent à la société que nous voulons construire. Maintenant, si ce choix s'avère stérile, il suffit de l'exprimer par les urnes comme cela se passe partout ailleurs, dans les démocraties occidentales notamment. Idéaliser tout est à mon sens, une grave erreur. Il faudrait des années pour mettre sur pied de fortes fondations pour un état démocratique digne de ce nom.

Mohamed Adjou :- Said Mandi je parle de gens qui se proposent et non de gens qu'on élit... ceux qu'on élit développent un programme dont ils sont comptables devant leurs électeurs... ceux qui se proposent ont un seul faire-valoir: leur critique de ceux qu'ils aspirent à remplacer et la force de leurs coups de gueule... et les critiques et les coups de gueule sont tout sauf des programmes. Que ces messieurs dames arrêtent de gesticuler et qu'ils parlent non pas de ce que les autres ont fait ou n'ont pas fait mais de ce qu'ils comptent faire eux-mêmes... Je comprends pourquoi Ghediri gène...

Said Mandi :- Pour le moment, ils s'abstiennent de rendre public leurs projets de sociétés car ils craignent un rejet de masse du peuple algérien qui ne veut pas de représentants. Ils "gesticulent" comme de simples citoyens bien que, je vous l'accorde, ils ont la notoriété en plus. Les algériens ne sont pas dupes, ils sauront faire le tri quand le moment viendra. De plus, connaissant certaines de ces personnalités, je peux vous certifier que beaucoup d'entre elles possèdent des programmes bien ficelés et depuis longtemps. Ce sont des militants de longue date. S'agissant de Ghediri, il me semble que vous vous accrochez à un arbre déjà mort. Mais, j'ai déjà promis de ne jamais tirer sur une ambulance.

Mohamed Adjou :- Said Mandi Vous aussi vous vous attaquez à ma personne au lieu de critiquer mes idées... Qui vous dit que je m'accroche à Ghediri ? avez vous lu quelque part que je me serais engagé à le soutenir ou à voter pour lui ????? Vous prêtez des préjugés favorables à des gens qui n'ont pas de programmes en soutenant qu'ils les divulgueront en temps utile mais vous critiquez quelque qui dit seulement que Ghediri a un programme ???? Terrible !

Said Mandi :-  Loin de moi l'idée de m'attaquer à votre personne. Vous avez mal compris mes propos. Si vous vous êtes senti offensé, je m'en excuse. Ce n'est dans ma nature de critiquer juste pour satisfaire mon ego.

Mohamed Adjou :- Said Mandi "S'agissant de Ghediri, il me semble que vous vous accrochez à un arbre déjà mort."... ce sont vos propos.

Said Mandi :- Il me semble que c'est vous qui aviez évoqué Ghediri en disant que "lui" il a un programme. Ce qui sous-entend que les autres n'en ont pas.

Mohamed Adjou :-  Said Mandi il a un programme et il l'a diffusé publiquement... les autres n'ont jusqu'à nouvel ordre pas de programmes ... mais la question n'est pas là... Qui vous a dit que je m'accroche à Ghediri ?

Said Mandi :- vous auriez pu en choisir un autre.

Mohamed Adjou :- Said Mandi c'est mon droit de choisir mes exemples... la prochaine fois je solliciterai au préalable votre permission...

Said Mandi :-  Oh que non. Vous êtes libre autant que je le suis. je vous souhaite bonne soirée.

Nora Kezzal :- Ils peuvent bla-blater autant qu'ils veulent moi je ne les écoute plus .

Azzouz Dekali :-  Dans un État de droit véritable avec pouvoir et contre pouvoirs, avec une opinion publique vigilante et libre, avec des syndicats représentatifs les gestionnaires n'auront plus droit à l'erreur et surtout à la persistance dans l'erreur. De toutes les manières il faut de nouvelles méthodes de gestion basées sur la transparence et la concertation la plus large. L’engagement politique au service des intérêts supérieurs de l'état devra primer sur la technocratie.

Mohamed Adjou :- dans un état de droit le contrôle ne s'exerce pas à posteriori et uniquement pas les partis et hommes politiques... il est permanent et c'est la société civile qui l'exerce grâce au mouvement associatif... le Hirak rendrait l'Algérie exemplaire s'il ne s'arrêtait pas à la revendication politique et poussait au développement tous azimuts du mouvement associatif libre...

Said Djebri :- Ça me rappelle les années FIS,et quand tout bascula, pas trace des uns et des autres...

Mohamed Adjou :- A lire certains écrits dithyrambiques sur certaines personnes, je pense que nous ne sommes pas loin de remettre d'actualité le mot "fakhamatouhou"...

Mustafa Naimi :- Cette fausse opposition qui veut absolument parler au nom du hirak ne représente à mon avis que 5% de voix des votants.
Ils pensent toujours qu’en criant ils se donnent raison et deviennent légitimes. Le peuple n’a pas oublié que la plupart ne peuvent bouger que grâce aux fils que tire rabdzair. Simples marionnettes en somme…

Mohammed Monk :-  C'est de notoriété publique que critiquer est plus facile de faire, on ne peut juger ses personnes si elles ne sont pas aux affaires... mais a mon avis le problème n'est pas celui des personnes mais du système ou la manière avec laquelle elles sont propulsées pour gérer le pays. n'importe qui, ange soit-il ferait aussi mal si il est assure qu'il ne serait pas comptable ni devant le peuple par un prochain suffrage loyal ni par une justice qui est un instrument de celui qu'il la coopté a cette place. Bouteflika n'aurait pas merdé a ce point s'il été vraiment élu par le peuple et surtout si on redonne la parole au peuple au bout du mandat.

Saadi Smail :-  C'est très juste ,ce que vous dites !

Saadi Smail :-  Les élections, quand elles ne sont pas truquées, ça sert justement à sanctionner ceux qui ont mal géré et à réélire ceux qui ont bien géré... C'est l'un des rares outils dont dispose le peuple pour contrôler ceux qui l'administrent !

Saadi Smail :-  Et pour gérer un secteur quelconque c'est simple: On se donne pour objectifs de baisser les mauvais chiffres et d'améliorer les bons... d’infléchir les mauvaises courbes et d'affiner les bonnes... Et on trace un programme d'action pour atteindre ces objectifs... Par exemple, à mon nouveau poste je constate que le taux annuel des accidents de la route est de 20%, je prends une batterie de mesures pour ramener ce chiffre à 10% (je multiplie par dix le nombre des dos d’âne sur les routes des Hautes Plaines, par exemple) et si j y arrive c'est que j'ai fait du bon boulot !...

Monceff Slim :-  Bouchachi iwali Bousachet, Tabou imout 3la tabou(ret ), Assoul exportera le (gh)assoul, Benbitour imout 3la 33 tours d'Oum Keltoum, Derradji yenkhla3 de la réalité yegulebha ghir oula oula oula ya baba ya baba…

Menouar Meslem
كاينة عمي موح صباح الخير
كاين اللي يعرف يهدر و كاين اللي يعرف يدبر و كاين اللي يعرف غير امنشر

Azzam Bacha Djedidi :- Bonjour Si Mohamed Yerham hathak el foum.

Mohamed Adjou :-  bonjour monsieur Djedidi... et merci.



GARDEZ LE HIRAK DE SES AMIS...


L’image contient peut-être : Mohamed AdjouJ'écris et publie mes écrits depuis que Abdelkrim Lakhdar Ezzine m'a donné en 1990 une tribune à travers son journal "Le Chroniqueur"... Mon style est (ce n'est pas moi qui l'ai voulu), ironique et parfois carrément satirique...

J'ai ironisé sur Chadli et ses hommes, sur le HCE et ses hommes, sur Boudiaf et ses hommes, sur Zeroual et ses hommes, sur Bouteflika et ses hommes...

Et j'ai ironisé aussi sur tous les textes officiels du JORADP de 1962 à 1990...

J'ai dit même ce que je pense et ce que je ne pense pas du FLN, du FFS, du FIS (sous pseudo pendant une bonne période, et pour cause !), du RCD, du PT, du MPA, de TEDJ, du HMS...

Je n'ai épargné ni Ghoul, ni Saidani, ni Belkhadem, ni Ouyahia, ni Sellal, ni Djaballah, ni Said Sadi, ni Louiza Hanoune, ni Boukrouh, ni Abbassi Madani, Ali Belhadj, Madani Mezrag, Benaicha, Zouabri (sous pseudo bien sûr!)...

J'ai dit des choses drôles mais qu'ils ne doivent pas avoir trouvées drôles de Rawrawa, Sidi Said, Barbera, Meriane, Saadane, Ghrib, Kamel Daoud, le MPA, l'ESS, la JSK et les doberman de Si Afif...

J'ai rempli plus de 12 tomes de 400 pages de mes écrits...

On ne m'a peut être pas pas beaucoup lu mais je suis persuadé que j'ai eu quand même quelques lecteurs...dont vous qui me lisez maintenant...

Wallah que, hormis la Gendarmerie Nationale sous Benabbes Gheziel qui m'a convoqué pour une mise au point et Boukrouh avec qui j'ai eu une petite "altercation écrite", je n'ai jamais reçu la moindre remontrance pour mes attaques et mes critiques...

Je constate à mon grand désarroi que depuis quelques jours, je fais l'objet de réguliers "rappels à l'ordre" très désobligeants et parfois même insultants pour des phrases décontextualisées qu'on prélève de mes textes ou des interprétations qu'on donne à ces textes, au prétexte que je serais un extra-hirakiste comme certains sont, selon AGS "extra-constitutionnels"...

Le Hirak, cette formidable machine populaire mise en branle pour libérer le peuple semble avoir trouvé des gardiens du temple zélés qui se permettent de vous intimer presque l'ordre de rentrer dans ses rangs...

Je suis désolé pour ces gens là mais, à ma connaissance, le peuple qui arpente les rues dans une kermesse militante qui subjugue le monde, n'a donné procuration à personne de parler en son nom ni de le défendre...

Et j'ose même dire qu'il faut garder le Hirak de ses amis (quels qu'ils soient) car ses ennemis (quels qu'ils soient), il sait s'en charger...




2019

Seddik Bentahar :-  Top ! Comme toujours si Mohamed.
Noureddine Kerrouche :-  À bon entendeur salut
Salim Oumeddour :-  Parce que j'ai des amis fainéant je vous prie de m'autoriser de publier une partie sur mon mur en vous citant b1 sure.
Amrane Hamoudi :-  Bonjour Mohamed. Je suis l'un de tes lecteurs. J'ai même eu droit à une remontrance de ta part à l'apw lorsque j'avais déclaré en pleine séance ta grande "plume de journaliste ".le bon vieux temps.
Mohamed Adjou :-  bonsoir El Hadj Amrane... nta nass mlah' bezzef... khirek asbaq kima igoulou... je ne me permettrais pas de te "réprimander" et je considérerai toujours tes reproches comme des leçons.
Rabia Baroudi :- Pour ma part, j'ai finalement compris que l'Algérie n'avait aucun ennemi de l'intérieur et que seule la main étrangère était à combattre ! Un seul flan à surveiller, C'est déjà cela de pris.
Benmehidi Sami :-  Dans cette ambiance troublée, il est inévitable que les grands démocrates te3 tekhir ezzemen montrent le bout de la truffe !
T'en fais pas, c'est dans l'ordre des choses.
Warda Lys :-  On appelait mon frère le "chevalier de la plume " on peut dire que tu l a remplacé...
Mohamed Adjou :- votre frère Rabbi yerahmou était un monument de sagesse...
Ayoub Ghettas :-  J'apprécie toujours tes écrits.
Mohamed Adjou :- merci
Moncef Kala :- Aucune personne est autorisée de faire des remontrances sur l'écrit de qui que ce soit, entre autres moi-même et autres personnes respectables. Ces personnes ont la totale liberté d'avoir une opinion divergente, elle a le droit de l'exprimer, c'est la règle 1ère de la démocratie de le faire sans propos ou avis injurieux. On appelle ça la liberté d'opinion.
De mon point de vue, ce débat ne mérite pas qu'on s'y attarde car c'est de la perte de temps et d'énergie de discuter avec des énergumènes.
Alors passons à autre chose.
Fatma Lassel :-  Ana je te lis toujours même en silence (Et tu dois le savoir)… Je lis aussi souvent ceux qui te commentent! Jusque là, c'est plutôt toi qui sembles vouloir dissuader les hirakistes et les convaincre chaque jour d'arrêter leur mouvement et de rentrer chez eux! C'est toi qui discrédites leurs revendications et caricatures le profil général du hirakiste que tu crois connaître comme personne!
Je ne sais pas! J'ai peut être loupé des choses, Mais je n'ai lu que des reproches et des regrets de quelques uns de ceux qui t'apprécient beaucoup. Aucune remontrance ni injonction de rejoindre absolument le mouvement!
Wa allahou a3lem...
Mohamed Adjou :- je ne vous répondrai pas...
Fatma Lassel :-  Maalich Mohamed! Tu es libre de  le faire ou pas. Moi je tenais à le dire cette fois ci et je te l'ai dit.
Mohamed Adjou :- je ne vous répondrai pas parce que je n'aime pas polémiquer avec mes vrai(e)s ami(e)s... j'aurais aimé que vous observiez la même réserve que j'observe avec vous quand il s'agit de sujets pour lesquels nous n'avons pas les mêmes passions (aveugles)...
Fatma Lassel :- Et c'est ce que je fais Mohamed! Depuis le premier écrit que tu as publié au sujet de ce mouvement... Là, ce n'est pas pour polémiquer.
Fatma Lassel :-  Seffih Zoheir! Reste en dehors de ça Stp. Ne te mets surtout pas entre Mohamed et Moi! Issedjik...
Mohamed Adjou :- Je suis tenté de vous donner le conseil que vous donnez à Zoheir: "reste en dehors de ça Stp..."
Fatma Lassel :-  Sahit.
Mohamed Adjou :- sinon, si vous tenez absolument à vous impliquer lisez tout et ne vous contentez pas de retenir mes dérisions au sujet de ce hirak... un ami, je le cite, c'est Hamoudi Bouzid... me disait un jour: "ya Mohamed dis 99 bonnes choses de quelqu'un et une seule mauvaise chose... tu verras que c'est cette mauvaise chose qui lui sera rapportée"... c'est mon cas avec ce Hirak...certains me lisent avec la seule idée de découvrir le moindre mal que j'en dis...je crois pourtant que dans tous mes textes, c'est presque 99% de bonne choses contre 1% de critiques (fondées)...
Malik Khemici :-  Il est interdit d'interdire.
Jamel Ghennam :- Impossible que la liberté nous viendrait d'une frange de la société hostile, irrespectueux et raciste contre ceux qui ont une autre vision, une autre philosophie..
Bref, j'ai vu que des peuples instruits arriver à leurs fins, comme au Liban.
AliSid Tezkratt :-  moi personnellement si je peux me qualifier ainsi je suis un nouveau débarqué sur vos écrits mais dès les premières lignes une chose à retenu mon esprit, je me suis dis وجه الخروف معروف étant en quête de réponses à certaines questions que je me pose à moi même je trouve que vous écrits donnent des clés de compréhension de phénomènes sociétaux primordiaux. le fait d'entendre un autre son de cloche rassure ... étant un anti hirak pas pacque j'ai bénéficié de crédits bancaires ou tout autre avantage étatique accordé aux hommes de main mais plus par une certaine conviction que وجه لخروف معروف car que attendre d'un laisser aller qui nous pousse à vivre entre les ordures on nous parle de propreté mais rien ne change en fait ce hirak c'est du vent il souffle que le vendredi pendant les marches mais disparaît sur le chemin du retour et les autres jours...je peux parler longuement sur beaucoup de disfonctionnements paradoxaux mais au final une chose à dire mr Adjou continuez !
Mohamed Adjou :- je ne suis pas totalement d'accord sur votre position envers le Hirak mais je respecte vos convictions... je retiens votre exhortation à continuer et vous en remercie... je continue
Leila Preure :-  Mohamed Adjou ce n est pas donné à tout le monde de savoir vous lire c’est tellement subtil ! Merci pour vos écrits…
Hacène Tebbal :-  Le sel lui-même ne dit pas qu’il est salé. Ya waddi, se vanter d’être ultra-hirakiste, quand on a quarante, cinquante ou soixante-quinze ans, relève simplement de l’effronterie.ايكثر خير الشبيبة Le « m’as-tuvuisme » bat son plein, Allah ghaleb,
Hassene Bendib :- Bonjour… Je te lis régulièrement, je t'admire je reste ton lecteur à jamais, parfois je partage tes écrits… Bon courage tu es une bouffées d'oxygène pour nous tous tes fans
Mohamed Adjou :-  merci
Hassene Bendib :-  Mohamed Adjou de rien mon ami
Omar Mokrani :- Respect
Fateh Boureboune :-  Tu n'as pas fini d'écrire, Mohamed Adjou, Poète du Terroir, parce que tu as ni fini de penser, ni fini de vouloir construire le bonheur de la société.
Mohamed Adjou :-  bonjour Grand Sachem... il y'a des mots qu'on reçoit comme de formidables et stimulantes tapes sur l'épaule. Merci.
Atmane Chennine :-  Vous avez su exprimer ce que je pense mais que je ne saurais et ne pourrais jamais exprimer pacque le cœur(mon cœur) a sa raison que la raison ignore je ne sais pas qui dirige mon corps est ce mon cœur ou mon cerveau(esprit) ?
Mohamed Adjou :- bonjour Si Athmane.
Safia Mustapha :-  Si Mohamed, vous lire est un moment de pur bonheur. Excellente journée
Mohamed Adjou :- bonjour madame et merci...
Nanou Fellah :-  nul n'est prophète dans son pays
Mohamed Balhi :-Tu es notre Yechar Kamel, reste comme tu es.
Jackline Fergoug :- ne change rien
Dalila Aklil :- Sages paroles...
Mustapha Benmami :-  Mohamed! Salut grand Sachem ! Tu n'es certainement pas Yougoslave mais ta plume est sans conteste acerbe ! Longue vie pour elle, avec le souhait que jamais son encre ne tarira ! Prends soin de toi ! Les affinités se rejoignent fatalement au carrefour de la saine pensée !
Hamdane Touaibia :- Moi j'ai arrêté de te commenter car dès qu'on émet un avis contraire au tien tu "sautes au plafond" !! tu prends tes airs de grand seigneur et parfois tes jambes à ton cou !! et tu montes sur tes grands canassons pour m'envoyer balader, et pour voir ailleurs si tu y es !! ALORS JE M'ABSTIENS ET JE M'EN PORTE MIEUX !!
Mohamed Adjou :- moi aussi je ne m'en porte que mieux... merci pour votre compréhension.

EL MOURADIA N'EST PAS SAMIRA TV

  CONSECRATIONS SANS MERITES... Je n'ai pas l'honneur de connaître tous les sénateurs, heureux élus du tiers présidentiels, ni les a...