COMMENT TAIRE ?
Moi je souhaite de tout coeur que
les "moulins à paroles" soient pris au mot et que le peuple les
investisse de fonctions exécutives officielles...
Nous allons voir ce que les Bouchachi,
Tabou, Assoul, Ali Yahia, Sofiane, Benbitour, Boumala , Derradji, Yahiaoui,
Bensedira etc feront quand ils se retrouveront confrontés à la réalité de la
gestion directe de la chose publique...
Gal Said Sadi un jour
"l'Islamisme c'est comme la mort, on en fait l'expérience une seule
fois" et moi je dirai que "l'épreuve de la gestion c'est la mort politique
des moulins à paroles, il n'en feront l'expérience que quelques mois"....
Nous avons vu ce que les dents
longues aux langues trop pendues ont démontré en passant du confort de la
critique à l'art difficile de la gestion... les Boukrouh, Khalida, Ghoul, Ould
Ali, Belkhalfa, Louh...
Wallah que ce sera un des meilleurs
spectacles que nous aurons à voir quand se poseront les équations à plusieurs
inconnues de la gestion à ces hommes et femmes qui n'ont appris dans leur
cursus scolaire que la résolution des opérations élémentaires de l'arithmétique
et qui n'ont pratiqué tout au long de leur vie politique que l'art de
vociférer, l'oeil rivé sur leur miroir reformant et l'oreille tendue vers les
applaudissements de la foule qu'ils veulent subjuguer...
19/4/2019
Aissa Lamri :- Pourtant, tu es
passé maître dans le bla-bla khoya Mohamed Adjou. Tu veux nous faire croire que
Sidkoum Said, Saidani et toute la racaille qui nous dirige, sont meilleurs de
meilleurs gestionnaires que nos Bouchachi, Assoul, Abdelaziz Rahabi et tous les
autres ? Wa3lach ya kho wach dernalec bach tahgued a3lina hakda ?...Wella tu
fais dans la provocation, juste pour nous écœurer ?
Réponse de Seffih
Zoheir perdue après suppression de son compte FB
Aissa Lamri :- Seffih Zoheir, sbah el khir ya wedj'h el khir
! Wach tu es en mission ? Mohamed Adjou est assez grand pour se défendre tout
seul, et il n'a sûrement pas besoin d'intermédiaires pour semer la zizanie
entre lui et ses amis de facebook. Lui, ne m'aurait jamais répondu sur ce ton. Nos
échanges ont toujours été cordiaux, amicaux et ludiques. Enta wach dakhlek
binatna yerham babak ??? Ou as-tu décelé de la malhonnêteté dans mes propos ?
J'ai utilisé la même onomatopée (bla-bla) que Mohamed...c'est ce que tu trouves
malhonnête ? Je ne suis ni agressif, ni j'ai la rage, sinon, j'aurais consulté
un vétérinaire !
Mohamed Anjou :-
Aissa Lamri Vous m'inquiétez très
sérieusement vous !... J'ai parlé de Sidi Said, Saidani et les autres ?... Zid
bezyada, ai je seulement un jour fait comprendre que je me propose de remplacer
quelqu'un dont je critique la gestion ? Je crois que je vais changer de
langage...
Mohamed Adjou :-
Aissa Lamri je vous aurais répondu de
manière plus agressive que Zoheir parce que j'en ai par dessus la tête de vos
étiquettes... Je vous demande gentiment de répondre sans viser ma personne...
J'ai comme vous un nom, une famille, des amis etc...et je NE SUIS PAS UN HOMME
PUBLIC...
Mohamed Anjou :-
Seffih Zoheir je peux même ajouter qu'au
moment où certains discutaient foot ou chanson, sculpture ou cuisine, je disais
des choses pas très gentilles de ces gens là alors qu'ils avaient gloire,
pouvoir et argent...
Youcef Guidoum :- wallah ya Mohamed
Adjou ghir j'aurais tenu les mêmes propos ! un éventail d'individus se mettent
en avant pour nous pousser à les faire désigner par le peuple dans ce qui
pourrait être la gestion d'une éventuelle future transition ! C’est à dire se
débarrasser d'une " famille " de mafieux pour y installer une autre
composée d'autres qui une fois imprégnés du goût au pouvoir ils construiraient
une autre autrement plus vorace......! et j’en ai la nette impression !
Mohamed Adjou :-
Youcef Guidoum je ne dirais pas qu'ils veulent remplacer des forbans pour faire
à leur tour les forbans... je dis qu'il faut avoir la décence de ne pas se
prendre pour des gens sans peur, sans reproches, de parfaite droiture et
compétence... j'admets qu'on se fasse choisir mais qu'on se choisisse soi-même
m'inquiète, me révolte et me donne la nausée... c'est un défaut très
bouteflikien...
Aissa Lamri :- Mohamed Adjou, si je comprends bien, vous,
vous avez le droit d'étiqueter les gens et de dire qu'ils ne sont que moulins à
vent et quand on vous répond, c'est une agression contre votre personne ?
Perso, je suis en mode "révolution" et tout commentaire ou
insinuation contraire, je le perçois comme une agression et il est de mon
devoir d'y répondre, dans le respect et la convivialité. Je vois que vous êtes
en train de tomber dans le piège de "j'ai raison et pas les
autres" et je préfère vous laisser avec certitudes. Je ne vous
commenterai plus, mais je continuerai de vous lire avec le même plaisir
qu'avant.
Youcef Guidoum :- Mohamed Adjou c'est mon avis, absolument !
mais j'ajoute qu'ils feraient comme leurs prédécesseurs si ce n'est pire, car
les honnêtes gens ne se vendent pas ils se choisissent.....!
Aissa Lamri :- Mohamed Adjou,
sérieusement vous n'avez pas parlé de Sidi Said et consorts ? Vous visez qui
quand vous dîtes : "Nous allons voir ce que les Bouchachi, Tabou, Assoul,
Ali Yahia, Sofiane, Benbitour, Boumala, Derradji, Yahiaoui, Bensedira etc
feront quand ils se retrouveront confrontés à la réalité de la gestion directe
de la chose publique…" ???...La réalité de la chose publique, est entre
les mains de qui aujourd'hui ? Ce ne sont pas tout ces minables qui nous
dirigent aujourd'hui ? Et vous, vous ne trouvez rien d'autre à nous dire que de
casser du sucre sur le dos de ceux que la "vox populi" est en train
de mettre en avant. Ou avez vous vu qu'ils se sont autoproclamés ? J'aurais
aimé voir votre nom sur cette liste d'autoproclamés. Vous y avez votre place.
Vous êtes une homme comme on en fait pas beaucoup. Digne, fier, d'une grande
droiture et vous auriez fait un grand serviteur de cette Algérie, meurtrie,
violentée et pillée au vu et au su de tout le monde. Dommage !
Mohamed Adjou :-
Aissa Lamri je n'ai plus à me justifier ni devant vous ni devant personne...
lisez ce que vous voulez et comme vous voulez... vous me fatiguez avec vos
insinuations... Sobhane Allah !!!! j'ai dit qu'avec ces couillons que vous
citez la chose publique est bien gérée ??
Aissa Lamri :- Mohamed Adjou, c'est ce que moi j'ai compris
et je ne vous demande pas de vous justifier. Si j'ai quelque chose à vous
demander, ce serait de laisser, ceux qui le veulent, vous apporter la
contradiction sans vous emporter. C'est un échange virtuel et comme vous le
savez, certains propos peuvent être mal interprétés.
Mohamed Adjou :-
Aissa Lamri je ne refuse pas qu'on me contredise, je refuse qu'on me prenne à
partie personnellement au lieu de discuter de mes idées... Vous avez la
fâcheuse tendance de parler de ma personne et de me reprocher mes sympathies ou
mes antipathies...
Aissa Lamri :- Je ne vous ai, à
aucun moment, pris à partie. Même si je ne supporte pas le fait que quelqu'un
comme vous ne dise aucun mot gentil en faveur de la révolution du peuple. Je
comprends votre scepticisme, mais je ne le partage pas, d'où mes réactions à
contre sens. Soyez indulgent avec moi et surtout avec ce peuple.
Mohamed Adjou :-
Aissa Lamri Vous continuez... je regrette de devoir vous dire que j'arrête
toute discussion avec vous... désolé !
Aissa Lamri :- Oups !
qu'est-ce-que j'ai dis encore ???
Aissa Lamri :- Et vous Seffih
Zoheir, vous brassez quoi ? Arrêtez de faire mousser votre acolyte.
Soyez neutre.
Mohamed Adjou :- Sans commentaire
Acolyte : nom 1. RELIGION Clerc élevé à l'acolytat, dont
la fonction est de servir à l'autel. 2. PÉJORATIF Compagnon complice. Le
gangster et ses acolytes.’
Aissa Lamri :- Mohamed Adjou, il va falloir prendre une
tisane" Tu veux coûte que coûte m'enfoncer Wella wach ? Voilà ce que dit
le dictionnaire des synonymes : - 21 synonymes
adjoint-e, affidé, aide, ami,
associé-e, auxiliaire, camarade, collègue, compagnon, comparse, compère,
complice, condisciple, confrère, connaissance, copain, labadens, partenaire,
servant, subalterne.". il n'y a ni bandit, ni gangster, ni en encore
moins, maffieux !!!...Je ne suis pas et je ne serai jamais une nouvelle
"Krapula" pour toi. J'ai beaucoup de respect pour toi, crois moi. Ne
fait pas trop confiance à ton acolyte Seffih Zoheir.
Said Mandi :- je préfère l'échec de ceux que je choisirai
librement que la réussite de ceux qu'on m'imposera par la fraude. Il faudrait
que les personnalités que vous avez citées, revendiquent leur droit
d'imperfection.
Mohamed Adjou :-
je ne savais pas que vous les aviez
choisies librement... je n'ai pas vent de l'organisation d'un scrutin ou d'un
sondage... je dois avoir raté quelque chose... je me disais que ces gens là se
sont, à ce jour, auto-proposés...
Said Mandi :- lorsque j'ai parlé de choix, je ne parlais pas
forcément de ces personnalités mais plutôt de celles que nous allons élire,
plus tard. Je ne suis pas adepte des autoproclamés et encore moins des
charognards de la politique. Faire confiance à quelqu'un n'est pas une tare.
C'est juste croire en des idéaux qui correspondent à la société que nous
voulons construire. Maintenant, si ce choix s'avère stérile, il suffit de
l'exprimer par les urnes comme cela se passe partout ailleurs, dans les
démocraties occidentales notamment. Idéaliser tout est à mon sens, une grave
erreur. Il faudrait des années pour mettre sur pied de fortes fondations pour
un état démocratique digne de ce nom.
Mohamed Adjou :-
Said Mandi je parle de gens qui se proposent et non de gens qu'on élit... ceux
qu'on élit développent un programme dont ils sont comptables devant leurs
électeurs... ceux qui se proposent ont un seul faire-valoir: leur critique de
ceux qu'ils aspirent à remplacer et la force de leurs coups de gueule... et les
critiques et les coups de gueule sont tout sauf des
programmes. Que ces messieurs dames arrêtent de gesticuler et qu'ils parlent
non pas de ce que les autres ont fait ou n'ont pas fait mais de ce qu'ils
comptent faire eux-mêmes... Je comprends pourquoi
Ghediri gène...
Said Mandi :- Pour le moment,
ils s'abstiennent de rendre public leurs projets de sociétés car ils craignent
un rejet de masse du peuple algérien qui ne veut pas de représentants. Ils
"gesticulent" comme de simples citoyens bien que, je vous l'accorde,
ils ont la notoriété en plus. Les algériens ne sont pas dupes, ils sauront
faire le tri quand le moment viendra. De plus, connaissant certaines de ces
personnalités, je peux vous certifier que beaucoup d'entre elles possèdent des
programmes bien ficelés et depuis longtemps. Ce sont des militants de longue
date. S'agissant de Ghediri, il me semble que vous vous accrochez à un arbre
déjà mort. Mais, j'ai déjà promis de ne jamais tirer sur une ambulance.
Mohamed Adjou :-
Said Mandi Vous aussi vous vous attaquez à ma personne au lieu de critiquer mes
idées... Qui vous dit que je m'accroche à Ghediri ? avez vous lu quelque part
que je me serais engagé à le soutenir ou à voter pour lui ????? Vous prêtez des
préjugés favorables à des gens qui n'ont pas de programmes en soutenant qu'ils
les divulgueront en temps utile mais vous critiquez quelque qui dit seulement
que Ghediri a un programme ???? Terrible !
Said Mandi :- Loin de moi l'idée de m'attaquer à votre
personne. Vous avez mal compris mes propos. Si vous vous êtes senti offensé, je
m'en excuse. Ce n'est dans ma nature de critiquer juste pour satisfaire mon ego.
Mohamed Adjou :-
Said Mandi "S'agissant de Ghediri, il me semble que vous vous accrochez à
un arbre déjà mort."... ce sont vos propos.
Said Mandi :- Il me semble que
c'est vous qui aviez évoqué Ghediri en disant que "lui" il a un
programme. Ce qui sous-entend que les autres n'en ont pas.
Mohamed Adjou :-
Said Mandi il a un programme et il l'a
diffusé publiquement... les autres n'ont jusqu'à nouvel ordre pas de programmes
... mais la question n'est pas là... Qui vous a dit que je m'accroche à Ghediri
?
Said Mandi :- vous auriez pu en
choisir un autre.
Mohamed Adjou :-
Said Mandi c'est mon droit de choisir mes exemples... la prochaine fois je
solliciterai au préalable votre permission...
Said Mandi :- Oh que non. Vous êtes libre autant que je le
suis. je vous souhaite bonne soirée.
Nora Kezzal :- Ils peuvent bla-blater
autant qu'ils veulent moi je ne les écoute plus .
Azzouz Dekali :- Dans un État de droit véritable avec pouvoir
et contre pouvoirs, avec une opinion publique vigilante et libre, avec des
syndicats représentatifs les gestionnaires n'auront plus droit à l'erreur et
surtout à la persistance dans l'erreur. De toutes les manières il faut de
nouvelles méthodes de gestion basées sur la transparence et la concertation la
plus large. L’engagement politique au service des intérêts supérieurs de l'état
devra primer sur la technocratie.
Mohamed Adjou :-
dans un état de droit le contrôle ne s'exerce pas à posteriori et uniquement
pas les partis et hommes politiques... il est permanent et c'est la société
civile qui l'exerce grâce au mouvement associatif... le Hirak rendrait
l'Algérie exemplaire s'il ne s'arrêtait pas à la revendication politique et
poussait au développement tous azimuts du mouvement associatif libre...
Said Djebri :- Ça me rappelle les
années FIS,et quand tout bascula, pas trace des uns et des autres...
Mohamed Adjou :-
A lire certains écrits dithyrambiques sur certaines personnes, je pense que
nous ne sommes pas loin de remettre d'actualité le mot
"fakhamatouhou"...
Mustafa Naimi :- Cette fausse
opposition qui veut absolument parler au nom du hirak ne représente à mon avis
que 5% de voix des votants.
Ils pensent toujours qu’en criant
ils se donnent raison et deviennent légitimes. Le peuple n’a pas oublié que la
plupart ne peuvent bouger que grâce aux fils que tire rabdzair. Simples marionnettes
en somme…
Mohammed Monk :- C'est de notoriété publique que critiquer est
plus facile de faire, on ne peut juger ses personnes si elles ne sont pas aux
affaires... mais a mon avis le problème n'est pas celui des personnes mais du
système ou la manière avec laquelle elles sont propulsées pour gérer le pays.
n'importe qui, ange soit-il ferait aussi mal si il est assure qu'il ne serait
pas comptable ni devant le peuple par un prochain suffrage loyal ni par une
justice qui est un instrument de celui qu'il la coopté a cette place. Bouteflika
n'aurait pas merdé a ce point s'il été vraiment élu par le peuple et surtout si
on redonne la parole au peuple au bout du mandat.
Saadi Smail :- C'est très juste ,ce que vous dites !
Saadi Smail :- Les élections, quand elles ne sont pas truquées,
ça sert justement à sanctionner ceux qui ont mal géré et à réélire ceux qui ont
bien géré... C'est l'un des rares outils dont dispose le peuple pour contrôler
ceux qui l'administrent !
Saadi Smail :- Et pour gérer un secteur quelconque c'est
simple: On se donne pour objectifs de baisser les mauvais chiffres et d'améliorer
les bons... d’infléchir les mauvaises courbes et d'affiner les bonnes... Et on
trace un programme d'action pour atteindre ces objectifs... Par exemple, à mon
nouveau poste je constate que le taux annuel des accidents de la route est de
20%, je prends une batterie de mesures pour ramener ce chiffre à 10% (je
multiplie par dix le nombre des dos d’âne sur les routes des Hautes Plaines, par
exemple) et si j y arrive c'est que j'ai fait du bon boulot !...
Monceff Slim :- Bouchachi iwali Bousachet, Tabou imout 3la
tabou(ret ), Assoul exportera le (gh)assoul, Benbitour imout 3la 33 tours d'Oum
Keltoum, Derradji yenkhla3 de la réalité yegulebha ghir oula oula oula ya baba
ya baba…
Menouar Meslem
كاينة عمي موح صباح الخير
كاين اللي يعرف يهدر و كاين اللي يعرف يدبر
و كاين اللي يعرف غير امنشر
Azzam Bacha Djedidi :- Bonjour Si
Mohamed Yerham hathak el foum.
Mohamed Adjou :-
bonjour monsieur Djedidi... et merci.
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