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dimanche 18 août 2019

AZREM DHEG VARNOUS

 COMMENT TAIRE ?

Le pays a toujours porté des serpents dans sa capuche (azrem dheg varnous...lahneche fel guelmoun)...
"L'animal engourdi sent a peine le chaud que l’âme lui revient avec la colère" dit la fable...
Ces serpents aussi... Ils sont là à hiberner et on ne les sent même pas...mais dès que le pays fait le moindre accès de fièvre, on les voit sortir de sa capuche, langue fourchue bien en évidence et crocs prêts à déverser leur poison...
Ce pays mourra de leur venin si ses dignes enfants ne réagissent pas très vite et très énergiquement pour mettre un terme à ce cinéma...
Je veux dire ce cirque.
19/8/2019

JEU ET ENJEU

 COMMENT TAIRE ?

Il y a des raisonnements extrêmement simplistes et qui nourrissent fortement les ressentiments et les colères populaires... Je cite deux de ces raisonnements:
1- la Constitution reconnait que le peuple est la source de tout pouvoir dans ses articles 7 et 8... Alors donnons le pouvoir au peuple !...
Formulée comme çà, cette "vérité" semble si évidente qu'on se demande bien qui elle peut gêner et pourquoi on rechigne à l'appliquer ...
On oublie tout juste que la même constitution dit sans équivoque que le mécanisme par lequel se constate et s'impose la volonté populaire, ce sont les représentants (élus) du peuple ou la voie référendaire...
Le vote en toute démocratie et comme de bien entendu, en notre démocratie aussi, est la seule condition de légitimation du pouvoir populaire...
S'il en existe une autre, qu'on nous la montre !
2- l'article 28 de cette Constitution donne à l’armée la prérogative de sauvegarde de la République, alors pourquoi n'a t'elle pas intervenu quand les prédateurs ont entamé leur oeuvre de "phagocytage" des richesses du pays ?
Elle est donc complice dans cette piraterie et ne saurait conduire aujourd'hui l'oeuvre titanesque de remise en état de la maison Algérie...
En vérité l'article 28 ne donne pas à l’armée la prérogative de censurer les autres institutions quels que soient leurs écarts de conduite...
Le devoir de sauvegarde de l’Unité et de l’intégrité du pays ne lui donne ni explicitement ni implicitement le droit de s’ingérer dans la gestion; or, toutes les malversations découlaient d'une gestion hasardeuse pour ne pas dire criminelle de l’exécutif...
Et la république dispose d'institutions dont le rôle consiste à contrôler, surveiller, évaluer, sanctionner cette gestion...cela va du parlement et du sénat au Conseil constitutionnel et au Cnes en passant par la douane, le fisc, la justice, la police etc...
Il est remarquable que toutes ces institutions, organismes, ministères etc (dont la profusion est cause de paralysie, et c'est certainement voulu) ne sont jamais cités en tant qu’entités quand un de leurs servants est défaillant...
Seule l’Armée est culpabilisée en tant qu'institution pour chaque méfaits d'un de ses officiers...
Le jeu est clair...
... l'enjeu aussi !
19/8/2019

EL MOURADIA N'EST PAS SAMIRA TV

  CONSECRATIONS SANS MERITES... Je n'ai pas l'honneur de connaître tous les sénateurs, heureux élus du tiers présidentiels, ni les a...