Je suis rentré de la ville à 7h... J'ai parcouru les 40 km en AR à très bonne vitesse, étant certain qu'aucun radar ne me flashera car les radars ne travaillent qu'en horaires de surface autrement tous les permis de conduire seraient retirés et la circulation serait réduite aux déplacements des gendarmes et policiers, douaniers et pompiers, sénateurs et députés, belles blondes, Procureurs, juges et oligarques...
Je ne dirai pas à quelle vitesse j'ai roulé... Je ne suis pas bête au point de faire un aveu m'incriminant sans y avoir été forcé...
En roulant à belle allure, j'ai écouté ce qui se disait à la radio...
Il était surtout question du sommet africain de Noukchott où Ouyahia représentait le président retenu en Suisse, loin du 701 par des examens médicaux trop bien tombés pour avoir été programmés...
Ce qui m'a fait sursauter en écoutant cette information, c'est l'expression: "profiter de l'expérience algérienne en matière de (lutte contre la) corruption"...
J'ai immédiatement réalisé que l'Ouyahia de service allait avoir la partie très facile pour parler de notre expérience en matière de (lutte contre) corruption...
Il pourrait parler des 26 milliards de Abdelhamid la Science et du sort réservé à cette affaire par les organes officiels de notre bonne vieille République qui, contrairement à l'idée généralement admise, n'exporte pas que du pétrole mais des devises aussi, à grandes valises et à coups de milliards de dollars...
Il pourrait ensuite décrire à ses pairs notre expérience riche en enseignements, d'accréditation des banques privées, et leur parler spécialement des sieurs Khalifa et Kharroubi...de la formation de leurs empires, des milliardaires que leurs établissements ont permis à notre pays de compter en un temps record...
Il pourrait leur expliquer les méthodes révolutionnaires de cessions d'actifs des sociétés nationales et des entreprises publiques locales... De l'évaluation au centime près de ces actifs, de leur cession dans la transparence, de l'usage qu'ont fait les acquéreurs du matériel, des bâtis et des assiettes foncières qu'ils ont sauvés de la faillite qui leur était programmée... Il connait très bien le dossier puisqu'il eut à le piloter...
Il pourrait leur parler aussi des élections législatives et locales et de la méthode DOA (qui fut appliquée par toutes les formations politiques), ce qui a permis d'avoir dans l'hémicycle et au niveau des collectivités locales des élus du genre Tliba qu'on sait très intègres, très compétents et surtout très engagés...
Il aurait pu leur parler de notre autoroute et de toutes les honnêtes fortunes qu'elle a créées, de la raffinerie que nous venons d'acquérir, du fonds de développement de la Steppe et des mérites de celui auquel il fut confié...
En vérité, nous avons effectivement des leçons à donner en matière de (lutte contre la) corruption et Ouyahia qui a conduit avec le bonheur que l'on sait l'opération "manu pulite" qui a assaini le paysage économique de ses gestionnaires sur simples présomption de corruption est très bien placé pour en savoir plus que n'importe qui sur cette pratique...
Je ne dirai pas à quelle vitesse j'ai roulé... Je ne suis pas bête au point de faire un aveu m'incriminant sans y avoir été forcé...
En roulant à belle allure, j'ai écouté ce qui se disait à la radio...
Il était surtout question du sommet africain de Noukchott où Ouyahia représentait le président retenu en Suisse, loin du 701 par des examens médicaux trop bien tombés pour avoir été programmés...
Ce qui m'a fait sursauter en écoutant cette information, c'est l'expression: "profiter de l'expérience algérienne en matière de (lutte contre la) corruption"...
J'ai immédiatement réalisé que l'Ouyahia de service allait avoir la partie très facile pour parler de notre expérience en matière de (lutte contre) corruption...
Il pourrait parler des 26 milliards de Abdelhamid la Science et du sort réservé à cette affaire par les organes officiels de notre bonne vieille République qui, contrairement à l'idée généralement admise, n'exporte pas que du pétrole mais des devises aussi, à grandes valises et à coups de milliards de dollars...
Il pourrait ensuite décrire à ses pairs notre expérience riche en enseignements, d'accréditation des banques privées, et leur parler spécialement des sieurs Khalifa et Kharroubi...de la formation de leurs empires, des milliardaires que leurs établissements ont permis à notre pays de compter en un temps record...
Il pourrait leur expliquer les méthodes révolutionnaires de cessions d'actifs des sociétés nationales et des entreprises publiques locales... De l'évaluation au centime près de ces actifs, de leur cession dans la transparence, de l'usage qu'ont fait les acquéreurs du matériel, des bâtis et des assiettes foncières qu'ils ont sauvés de la faillite qui leur était programmée... Il connait très bien le dossier puisqu'il eut à le piloter...
Il pourrait leur parler aussi des élections législatives et locales et de la méthode DOA (qui fut appliquée par toutes les formations politiques), ce qui a permis d'avoir dans l'hémicycle et au niveau des collectivités locales des élus du genre Tliba qu'on sait très intègres, très compétents et surtout très engagés...
Il aurait pu leur parler de notre autoroute et de toutes les honnêtes fortunes qu'elle a créées, de la raffinerie que nous venons d'acquérir, du fonds de développement de la Steppe et des mérites de celui auquel il fut confié...
En vérité, nous avons effectivement des leçons à donner en matière de (lutte contre la) corruption et Ouyahia qui a conduit avec le bonheur que l'on sait l'opération "manu pulite" qui a assaini le paysage économique de ses gestionnaires sur simples présomption de corruption est très bien placé pour en savoir plus que n'importe qui sur cette pratique...
2/7/2018
