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mercredi 17 février 2021

MIEUX VAUT EN RIRE

 Nous sommes le 18 février…

C’est la Saint Bernadette et la tradition météo française dit : «À la sainte Bernadette, souvent le soleil est de la fête.»…
Je ne sais pas ce qu’en dit notre météo agraire… elle pourrait ne rien en dire et c’est beaucoup mieux : elle ne risque pas ainsi de se laisser accuser de menteuse, car le temps est comme les hommes politiques : imprévisible !...
J’en veux pour preuve que c’est plutôt le brouillard qui viendra gêner pour aujourd’hui notre visibilité pour contrarier le dicton du colonisateur-civilisateur…
Ça nage aussi en plein brouillard de l’autre côté de la mare nostrum où rien ne se dessine encore concernant l’élection du successeur de Hollande en cet Hexagone qui offre en spectacle des clowns qui ne font même pas rire comme le faisait un illustre candidat à la présidentielle, Coluche dont on célèbre aujourd’hui son premier spectacle et premier succès en vedette à l'Olympia le 18 février 1975.
Le 18 février est à ce point de vue une journée mémorable puisque c’est en ce jour de 1899 qu’Émile Loubet devient le VIIIe président de la IIIe République Française en succédant à Félix Faure, mort tragi-comiquement deux jours plus tôt, le 16 février 1899 ; dans l’exercice des fonctions habituelles des présidents français...
Et c’est aussi en ce jour de l’année 1906 qu’Armand Fallières devient le IXe président de la IIIe République Française en lui succédant pour laisser sa place le même jour en 1913 : à Raymond Poincaré qui devient le Xe président de la IIIe République Française avant de céder son siège le 18 février 1920 à Paul Deschanel.



C’est vrai que les français n’ont pas de pétrole mais ils ont… de l’humour…et c’est Coluche qui disait : “Vous avez des étrangers qui viennent en France comme balayeur, et après ils restent comme Noir !” … Ils peuvent même ne plus se faire appeler Dieudonné mais M’Bala M’Bala s’ils ont l’outrecuidance de ne pas s’en tenir au respect du parti-pris hexagonal officiel…
Et c’est ce qui est arrivé à cet autre humoriste controversé, à deux reprises un 18 février…
D’abord en 2004 avec la décision de la direction de l'Olympia d'annuler son spectacle « Le Divorce de Patrick » en invoquant de nombreux appels de menace, ensuite en 2005 avec la polémique qui a suivi ses propos tenus à Alger comparant la commémoration de la Shoah à de la pornographie mémorielle.
Alger où une autre déclaration d’un autre français, de souche celui là, et candidat comme Coluche à la présidentielle, crée le buzz … Celle de Macron qui, sans nous crier « je vous ai compris » nous a quand même gratifiés de sa compréhension en nous offrant un aveu sans détour sur le caractère criminel de la colonisation… même si nous n’avions pas besoin de cet aveu pour classer cette ignominie comme crime contre l’humanité alors que nous célébrons la journée des Martyrs ce 18 février en hommage au million et demi d’Algériens tués par la soldatesque française non par suite de bavures mais par une volonté génocidaire irréfutable dont la communauté internationale prit officiellement connaissance le 18 février 1957 quand « la question algérienne » fut présentée devant l’ONU pour la première fois…
Que dire d’autre de cette journée ? Qu’elle fut dédiée en Hexagonie à Bernadette Soubirous, jeune fille qui prétendit avoir eu des visions de la Vierge Marie, ce qui a fait dire à Zola malgré son scepticisme « Je ne suis pas croyant, je ne crois pas aux miracles, mais je crois au besoin du miracle pour l'homme »…
Le besoin du miracle pour l’homme qui se matérialisera le 5 juin 1990 par le nom d’Allah dans le ciel d’Alger… grosse supercherie que Abassi Madani qualifiera malicieusement de « ikram » sans doute pour témoigner malicieusement sa reconnaissance au metteur en scène sans atténuer les effets de cette scène sur la crédulité des foules…
Abassi Madani qui ambitionnait, sans rire, de se faire président ou émir des croyants de ce pays en créant le FIS le… 18 février 1989…
18/2/2017

UNE PRATIQUE DEGRADANTE, COUTEUSE, DESHONORANTE ET VAINE

 Je ne connais pas le Général Necib...

J'étais aspirant de réserve dans la Marine quand il était Lieutenant.
Je viens de lire sa biographie sommaire sur El Watan, le Soir de ce matin, le Quotidien d'Oran et Ennahar où on l'a fait sauter du grade de Commandant à celui de Général en passant sur Lieutenant Colonel et Colonel... Tous ces journaux n'ont pas indiqué le lieu et la cause du décès du Général... mais les réseaux sociaux parlent de Paris et de maladie...



Je n'ai rien à dire sur l'Homme qui est de ma génération et donc non impliqué dans les événements à fortes controverses qu'a connus notre pays... et même si ce n'était pas le cas, je n'en dirais rien car je n'ai aucune raison d'en dire quoi que ce soit...
Je me désole seulement, si le lieu du décès est confirmé, de cette mode que nos dignitaires en tous genres ont adoptée et qui consiste à choisir de mourir en regardant le ciel triste de Paris au lieu du beau ciel éclatant d'Alger... Une mode que toute célebrité s'impose aujourd'hui, qu'elle soit politique, militaire, sportive, artistique, financière, syndicale ou industrielle, de la majorité comme de l'opposition...
Une mode qui ne fait plus honte depuis que notre Président l'a adoptée...
Une mode coûteuse et surtout dégradante et qui n'a pas besoin de démontrer sa totale inutilité...
Allah yerham le Général Necib et qu'Il nous débarrasse de cette mode en inculquant à nos dignitaires cette sagesse que possède l'homme du peuple et qui lui fait dire que de toutes façons, "akhret'ha mout"...
18/2/2015

PRENDRE LA VIE DU BON COTE

 Bonjour...

Il ne fera pas jour pour tout le monde. Ainsi va la vie !... "Minhoum men qadha nahbahou oua minhoum men yantadhir"...



Et celui qui attend ne perd rien pour attendre car son tour viendra, quelles que soient les précautions qu'il prendra, quels que soient les trésors qu'il aura amassés, quels que soient les honneurs qu'il aura glanés, quels que soient les remparts qu'il aura érigés.
La broyeuse peut laisser passer un grain mais le tapis roulant le ramènera bien entre ses engrenages...
Si tout le monde réussissait à se convaincre de cette réalité évidente et surtout implacable, l'homme gagnerait en sagesse, en modestie et surtout en humanisme envers ses semblables, créés sans l'avoir voulu et qui se trouvent embarqués avec lui sur la galère de la vie.
Mais je crois qu'au lieu de se rassurer en sachant qu'il ne peut échapper à l'inéluctabilité de cette limite au delà de laquelle son ticket n'est plus valable, l homme s'angoisse plutôt qu'il se rassérène...
Un peu comme si jaloux de cette vie qui lui a été prêtée, il veuille en faire sa propriété éternelle.
Et pour échapper à cette angoisse, il s'invente des diversions.
Deux diversions essentielles: l'amour et la haine que José Marti a résumées dans une de ses citations: "les hommes forment deux camps: ceux qui aiment et créent et ceux qui haïssent et défont."…
Il y a effectivement deux camps que l'angoisse existentielle nous oblige à rejoindre. Celui de l'amour où l'attente de la mort incite à donner la vie par la créativité et à l'honorer et célébrer le culte du vivant, et celui de la haine où la peur incite à vouloir transcender sa propre mort par celle des autres et de toute forme de vie.
C'est un peu comme les fameux Rigolus et Tristus de la BD.
Que Dieu nous aide à rester dans le premier camp. Mourir pour mourir, autant vivre en ayant fait oeuvre utile et en ayant bien ri... Plutôt que dans le second camp, en ayant pris la vie en aversion et en s'étant vengé sur elle, rictus aux lèvres et sang dans les mains.
Aya bonne journée à ceux qui en verront la lumière... avec le sourire !
18/2/2015

WACH DJAB EL DJAB

 COMMENT TAIRE ?

Ayant été acteur économique dans les différents systèmes adoptés par le pays depuis la fin des années 70: entreprise publique locale, EPE, Société de salariés, entreprise privée, je peux affirmer, au risque de me faire traiter de tous les noms que le privé algérien n'a pas la culture d'entreprise mais celle de la prédation...
Les performances comparées des entreprises publiques et privées montrent que l'entreprise publique est plus performante en:
- Production physique
- ventes physiques
- valeur ajoutée
- sécurité industrielle
- emploi
- formation
- droit du travail
- qualité des produits
- charges hors production
- fiscalité directe
- fiscalité indirecte
- parafiscalité etc...



L'entreprise publique est moins performante que l'entreprise privée en
- chiffres d'affaires non déclarés,
- ventes sans facturation,
- dépenses de voyages des responsables,
- corruption de fonctionnaires,
- népotisme,
- heff et bluff...
Et que ceux qui s'aviseront de me donner un ou deux exemples démentant mes affirmations sachent que les exceptions qu'ils citeront ne font que confirmer la règle.
17/2/2019

AVEC FAFA, MA NOUGGOU3DOU...MA ENNOUDHOU !

 COMMENT TAIRE ?

AVEC FAFA, MA NOUGGOU3DOU...MA ENNOUDHOU !



J'ai toujours dit que Fafa n'acceptera jamais de nous voir couchés parce que nous représentons sa profondeur stratégique, culturelle et économique et si nous nous couchons elle ne pourra plus se relever...
El mouchkil c'est aussi qu'elle n'acceptera jamais de nous voir debout car si nous retrouvons du poil de la bête nous lui ferons un enfant dans le dos en nous liant pour le meilleur et pour le pire avec les chinois, les russes, les turcs ou les persans, les coréens ou les allemands...
Fafa n'a pas beaucoup d'alternatives, il lui faut entretenir chez nous continuellement une situation de ni guerre ni paix, une instabilité chronique mais savamment dosée pour que nous ne chutions pas et pour que nous ne retrouvions jamais tous nos équilibres...
Bref, elle fera tout pour que "ma nouggou3dou ma ennoudho" et nos hommes politiques sur lesquels elle a une mainmise totale jouent allègrement le jeu car ils savent que, ila g3adna itirou ouila nodhna itirou (si nous nous asseyons ils s'envoleront et si nous nous levons, ils s'envoleront) ...
CQFD !

17/2/2020

17 FEVRIER... UN JOUR CHAUD

 Nous sommes le 17 février… qu’importe l’heure qu’il est.

Le temps est au beau fixe...
Le 17 février fut chaud si on en juge par ses éphémérides…
Déjà en 1600 c’est le sieur Giordano Bruno qui se brûla les ailes et le reste.
Ce religieux devenu philosophe et qui avait osé se «coperniciser» mais surtout qui avait, suprême hérésie, déclaré publiquement que le prophète Jésus n’était pas un dieu mais un simple mortel et qui s’était fait partisan de l’apocatastase qui veut que Satan soit absout de son refus de se plier aux ordres de Son Créateur, fut brûlé vif afin qu’il connaisse les tourments de l’enfer avant d’y être enfourné…
En 1982, ce sont les habitants de Hama en Syrie qui goûtèrent au feu des armes d’Assad-père. Le carnage fit – dit-on – au moins 1000 morts, ce qui permit à ce pays de vivre en paix jusqu’à la fin du siècle et 10 autres années dans le nouveau siècle avant que le printemps infernal concocté aux arabes n’y installe l’hiver de la guerre…
Mais il n’y a pas que la guerre qui tue !... en 1993, il y’eut autant de morts qu’à Hama quand le ferry « Neptune » fit naufrage alors qu’il transportait entre 800 et 2000 passagers… et en 2001 c’est l’East Sea avec à son bord 908 clandestins kurdes qui s’échoua sur la plage de St Raphaël où le monde découvrit l’horreur dans ce qu’avaient subi les pauvres hères qui croyaient fuir l’enfer et qui se sont retrouvés devant sa porte…
Il y’eut toutefois des dates où on constata une toute autre chaleur, à l’instar de ce 17 février 1932 où le négus proclama l’abolition de l’esclavage tout en se permettant lui-même de traiter son peuple en ghachi soumis à toutes ses volontés…
Il y’eut aussi, le 17 février 1968 au Mozambique, cet événement peu médiatisé où l’on vit pour la première fois un prêtre prêcher dans une mosquée… l’histoire ne dit pas s’il y était rentré chaussé ou nu-pieds…
Il y’eut enfin, en ce mémorable 17 février 1989, un rassemblement en chiens de faïence de leaders maghrébins aujourd’hui tous disparus qui résolurent d’enfanter simultanément d’un mort-né : l’UMA… un mort-né dont leurs successeurs, prêts à se mordre, fêtent quand même chaque année l’anniversaire mais sans photos à l’appui, comme s’il fût l’œuvre de quelques fantômes…
Le 17 février fut aussi un jour faste pour la découverte scientifique ; ainsi, en 1897, c’est Rudolf Diesel qui testa son moteur avec succès. Quelques années avant, en 1878, c’est Thomas Edison qui fit breveter son phonographe à cylindre et en 1939, Ferdinand Porsche présente la Volkswagen (voiture du peuple) qui à la même date en 1972 fit sortir sa 15 007 034 e voiture, battant ainsi le record détenu jusqu’alors par la Ford Tin Lizzly…
C’est aussi un 17 février qui vit l’homme battre la machine quand Kasparov tint en échec Deep Blue d’IBM aux échecs en 1996… répondant ainsi en faveur de l’homme à la question de savoir à qui appartient l’avenir avec l’avènement de l’intelligence artificielle, 36 ans après que Henri Alleg ait publié « La Question », livre témoignage de l’absurdité de ces hommes qui exécutent les pires atrocités envers d’autres hommes sans se poser de questions…



…Comme le fit le sinistre Maurice Papon qui mourut dans l’indignité le 17 février 2007, date anniversaire de la naissance d’un monsieur digne d’honneur et que j’ai particulièrement aimé lire dans un grand livre intitulé « le Cheval d’Orgueil »… il s’agit, vous l’avez deviné, de Pierre Jakez Hiélias, né en 1914 et qui vous ferait chanter la Marseillaise en Breton et vous ferait aimer le tonnerre de Brest même si vous êtes viscéralement anti-bonnets rouges…
Ce jour vit aussi le décès de Molière en 1673, de Hervé Bazin en 1996 et du digne Geronimo, chef apache en 1909 après que les Yankees eurent détruit en lui la volonté de vivre en tuant hommes et bisons et en parquant le reste de son peuple dans des réserves alors qu’ils avaient tout l’espace pour donner libre cours à leurs chevauchées…
17/2/2014

UNE PENSÉE POUR NOS DIRECTEURS...

 UNE PENSÉE POUR NOS DIRECTEURS...

Nous sommes le 17 février et il est 3h30 du matin.
Moi je vous avoue que je remercie le Bon Dieu de m’avoir donné cet intermède de lucidité entre deux zones d'ombre de ma conscience.



Ça me permet de ne pas supporter jusqu'au matin les angoisses et les terreurs que me donnent les cauchemars d'une partie de mon sommeil mais ça me donne aussi une pause salutaire et solitaire dans le silence de la nuit, très propice à la méditation sur ma condition et celle de mes semblables.
Et cette nuit, je ne sais pas pourquoi, mes pensées m'ont mené vers nos directeurs; ceux de notre quotidien terre à terre et ceux de nos consciences.
Les premiers se donnent un mal fou à gérer nos affaires et arrivent à veiller, souffrir, courir, crier, se rendre malades et parfois mourir pour que nous les agréons comme fondés de pouvoir, abandonnant ainsi leur liberté, leur intimité, la possibilité de rire ou de manger en public en em...ant la république, pour se confiner dans un devoir de réserve qui leur interdit de boire au goulot des bouteilles ou de se soulager si nécessaire derrière un buisson ou de se permettre un plat de sardines dans une gargote ou de s'arrêter sur un pont pour se pencher sur ses garde-fous et admirer l'eau qui passe.
Je ne comprends pas, personnellement, quelle pulsion pousse ces gens là, de Boutef à Benflis en passant par Ould Abbes et Raouraoua, jusqu'à arriver à notre maire, quelle est cette pulsion irrésistible qui les pousse à troquer leur liberté contre la solennité et à s'imposer rigueur et réserve quand ils peuvent rester libres de leurs actes et de leurs paroles.
Eux nous font comprendre que c'est pour nos beaux yeux et parce qu'ils nous aiment si fort qu'ils cherchent à nous tirer de nos misères sociales et de nos impasses en nous donnant confort, quiétude et sérénité en ce bas monde.
Et nous les croyons parfois, oubliant que nous n'avons pas de beaux yeux et que ces bons samaritains, incapables d'adhérer à la moindre association de bienfaisance n'ont jamais été surpris à faire oeuvre de charité ni pour leurs proches ni pour leurs voisins et qu'ils n'ont jamais eu l'idée même de s'arrêter devant nous quand il nous est arrivé de faire de l'auto-stop, de peur que nos sabots boueux leur salissent les parterres de leurs voitures ou que nous les incommodions par l'odeur de notre sueur.
Nous oublions ainsi de penser qu'on ne peut servir quelqu'un quand on ne le respecte pas. Et c'est le cas de nos fondés de pouvoir, du maire au président !,..
Quant a nos directeurs de consciences qui nous incitent avec une véhémente assiduité à faire oeuvre pieuse, nous les croyons pour l'habit qui les fait moines ou si vous voulez, la barbe et le kamis qui les font imams, mais sans trop nous questionner sur ce besoin qu'ils éprouvent à nous faire marcher au pas de leur bonne foi, abandonnant pour les besoins de leurs prêches, leur liberté de se mettre en survêtement et de se couvrir le chef d'un béret basque ou d'une casquette, de faire un pas de danse ou de fredonner un air de Mazouni où ça leur chante.
Ceux ci nous expliquent que ce qui les pousse à sacrifier leur liberté pour nous, ce sont aussi nos beaux yeux, et leur désir de nous voir, tous comme nous sommes, agrées pour un séjour éternel en Eden au lieu de notre enfournement dans les chaudières de la Géhenne.
Et nous les croyons !... Nous les croyons tout en sachant que nous n'avons pas de beaux yeux et que, de toutes façons, le beau n'a jamais été le souci de ces gens là, sinon ils auraient commencé à se faire beaux eux-mêmes en ne se présentant pas avec ces barbes et ces accoutrements.
Nous croyons en leurs bons sentiments alors que nous ne les avons jamais vu poser une main secourable sur la tête d'un orphelin ni regardé avec compassion nos épreuves d'ici bas.
Nous les croyons sans nous demander l'enfer que serait notre paradis de l'au-delà, en compagnie de ces lugubres marabouts qui le prônent et nous le promettent...
17/2/2015

EL MOURADIA N'EST PAS SAMIRA TV

  CONSECRATIONS SANS MERITES... Je n'ai pas l'honneur de connaître tous les sénateurs, heureux élus du tiers présidentiels, ni les a...