Rechercher dans ce blog

dimanche 24 janvier 2021

PUDIBONDIEUSERIE

 Boumerdes. Sortie ouest. Des mouettes qui s'bécotent sur un rond point...



La "pudibondieuserie" dont nous faisons notre credo finira peut être par leur réserver le sort des Bouddha de Bamiyan...
On invoquera pour les dynamiter l'interdiction religieuse de donner à la pierre des formes animales...
25/1/2015

FAUSSE OPULENCE

 Bordj Menaiel... En pénétrant dans le coeur de la ville, la deuxième de la wilaya de Boumerdes, si ce n'est la première, on se rend compte que le vieil adage où il est question de mulets et d'écuries dit vrai.



Ici, c'est un véritable boulevard boueux de bout en bout. On se demande comment, avec la "bah'bouh'a" qu'a connue le pays, on n'a pas pu le goudronner et qu'est ce que ce sera avec la période des vaches maigres qui s'annonce.
Sur ce mur lépreux un quidam a écrit avec une encre aussi noire que son espoir: عاجلا أم أجلا سأغادر الجزائر...
" Tôt ou tard, je quitterai l'Algérie"...
Il est loin le temps de "arfa3 rassek a bba !" et de "3angar tabouchek !"...

25/1/2015

ON N'AVANCE PAS EN REMONTANT LE TEMPS

 COMMENT TAIRE ?

Ce pays est un melting pot de races et ça fait aussi sa richesse...
Les brassages perpétuels de populations ont généré un fort métissage; berbèro-romain - arabo-berbère - turco-arabo-berbère - franco-turco-arabo-berbero-andalou... et nous avons même des berbéro-russes et des arabo-vietnamiens et depuis quelque temps des algéro-chinois...
Je crois que ce mélange plaide pour que nous définissions justement une nationalité algérienne multiraciale comme elle l'est effectivement et que nous arrêtions de remonter le temps, l'histoire et la géographie pour vouloir à tout prix nous apparenter aux Arabes ou nous découvrir une pureté Berbère inaltérée...
2/1/2019

HOMME - FEMME... COMPARAISON EST DERAISON

 HOMME - FEMME... COMPARAISON EST DERAISON

Je ne crois pas qu'en matière d'égalité des droits (et des devoirs) entre l'homme et la femme on doive développer des discours catastrophistes et crier à l'infâme ségrégationnisme ni de complaisance et d’auto glorification en assurant que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes....
La réalité est bien trop complexe pour être expédiée par un verdict, des incantations ou des holà d'indignation.
Et l'égalité des sexes ne se mesure pas seulement à l'égalité d'accès aux travaux forcés... car c'est une vision très réductrice qui rentre dans la logique du capitalisme et le capitalisme quoi que disent les convertis du socialisme (ses plus acharnés défenseurs), reste un système qui fait peu cas des notions abstraites de Liberté et d'Egalité pour ne croire qu'aux notions concrètes de Productivité et de Profit...
La situation de la femme en Algérie comme ailleurs diffère entre les villes et les campagnes.
Si dans les campagnes, la femme faisait avec la bonne ânesse, depuis des temps immémoriaux, l'auxiliaire fidèle de l'homme au point où certains travaux ne pouvaient être conçus qu'au féminin pluriel (cueillette des olives, cueillette des figues, ramassage des épis tombés des moissonneuses), aujourd'hui, avec la mécanisation de l'agriculture et l'industrialisation relative des élevages, elle est conductrice de tracteurs, éleveuse de volailles, de taurillons ou de moutons et bientôt piscicultrice avec ces inénarrables "chambres de la pêche" qu'un ministre des "ressources halieutiques" a cru bon de mettre en place dans toutes les wilaya, d'El Bayadh à Djelfa et de Bouira à Illizi...
En ville, cette égalité commence à revêtir des aspects dont seraient jalouses nombre de sociétés occidentales. On ne parlera pas des policières (d'une ignoble sévérité envers les pôvres mâles conducteurs); on ne parlera pas des "chauffeuses" qui ont appris à slalomer sur la moutonnière comme des hommes qui ne se respectent pas...
On peut parler du corps enseignant où le bon maître d'école moustachu fait désormais figure de curiosité devant les bataillons de femmes "entabliées"... On peut parler du système de santé où les "rebouteuses" et les "arracheuses de dents" dûment diplômées des universités dominent largement les médecins et autres dentistes dont certains, faute d'avoir le charme (et non la compétence) de leurs concurrentes, se sont transformés en "taxieurs" ... on peut parler du journalisme où ces dames ont arraché haut la main le droit de critiquer ce qui ne les regarde pas, d'élever des statuts à des personnes insignifiantes et de descendre en flammes d'émérites compétences...


On peut parler de l'administration publique où ces dames se partagent le privilège du farniente avec leurs collègues du sexe dit "fort"...
Il est certain qu'il n'y a pas encore de "mineuses" au fond des galeries du Djebel Onk mais cela ne démontre absolument pas que la femme soit encore mineure car si c'était le cas, toutes les femmes du monde le seraient. Il est certain qu'elles ne sont pas nombreuses à s'échiner pour faire sortir l'or noir des entrailles de Gassi Touil mais il faut plus parler de vocations librement détournées que de ségrégation car dans les cursus universitaires rien n'interdit à l'une de faire moins que ce que l'un est autorisé à faire...
La femme est un sujet sur lequel il est bon de s'étendre aurait dit Sacha GUITRY qui avouait être contre les femmes... tout contre !
D...10 décembre 2004

FRENESIE EXEGETIQUE

 Nous sommes le 25 janvier...



L'anticyclone des Açores semble avoir repris sa place pour mieux corser notre angoisse face à ce que le temps nous réserve... j'ai dit un jour que c'est "quand l'homme vit l'enfer qu'il devient réceptif à l'idée du paradis"... Devant les incertitudes de notre avenir, nous devons nous attendre à une recrudescence de notre spiritualité de conjoncture car les faux dévots et les sorciers en tous genres profitent des angoisses existentielles pour offrir l'espoir des félicités virtuelles...
Dans cet ordre d'idée, si vous le voulez bien, je vous donne à lire ce texte que j'ai commis le 28 mars 2013...
« Et ils dirent : « Seigneur, nous avons obéi à nos chefs et à nos grands. C'est donc eux qui nous ont égarés du Sentier. Ô notre Seigneur, inflige-leur deux fois le châtiment et maudis les d'une grande malédiction » (Sourate 33 - versets 67-68)
« Malheur à vous, docteurs de la loi et pharisiens hypocrites, qui êtes semblables à des sépulcres blanchis, qui au dehors paraissent beaux, mais qui au dedans sont pleins d’ossements de morts et de toute sorte de pourriture (Matthieu 27).
Sidna Aissa n’a eu que mansuétude, compassion et amour pour les humbles les rassurant sur la miséricorde divine ; par contre, il n’a pas arrêté de fustiger et de menacer des pires tourments les pharisiens, tenants du rigorisme religieux qui avaient fondé un parti politique basé sur la religion et qui n’arrêtaient pas de diffuser et d’imposer des prescriptions aux croyants ; corsant à l’extrême la pratique religieuse et éloignant la foi de son essence pour en faire un puzzle compliqué dans lequel les artifices corporels, vestimentaires et rituels était conçus comme vecteurs essentiels de la spiritualité…
On sait comment l’intégrisme incarné par ces pharisiens réagit alors face à ce révolutionnaire qui s’était résolument opposé à l’hypocrisie et au culte des apparats…
Plus loin, Sidna Brahim dut subir le feu des tenants du rigorisme qui voyaient en ses attaques contre leur fonds de commerce religieux une menace pour leur statut de directeurs des consciences de la cohorte humaine dont ils exploitaient la naïveté et profitaient de la peur, qu’ils entretenaient par la menace des tourments de l’enfer, en cas de non inféodation à leurs thèses… Des tourments qu’ils avaient incrustés dans les subconscients par l’effet d’un matraquage en règle…
Et plus près, c’est Sidna Mohamed qui dut lutter devant la coalition tripartite des idolâtres et des prêtres et rabbins qui, chacun à sa façon, façonnaient les consciences, à coups de décrets visant à les faire prisonniers de dogmes qu’ils ne corsaient que pour mieux s’imposer en passages obligés pour les expliciter, se faisant ainsi représentants inévitables de Dieu sur terre.
C’est dire que là où il y’a théologie il y’a obligatoirement formation d’un « clergé » qui la moule selon ses intérêts pour en faire son idéologie, n’hésitant pas à s’imposer au pouvoir politique et à lui faire adopter ses décrets dans une alliance de tous bénéfices pour les deux parties…
Quant cette jonction du spirituel dénaturé et du temporel qui lui est complice se réalise, le peuple est condamné à boire le calice jusqu’à la lie !...
Sachant que tout statisme lui est fatal ; le pouvoir combiné qui atteint très vite ses limites en matière de gouvernance et de satisfaction des exigences temporelles de la foule, ne trouve d’autres alternatives que de rentrer dans la surenchère spirituelle pour la noyer de rhétorique et, faute de pouvoir assurer l’ordre, la justice et le pain, il promet à cette foule la félicité de l’au-delà car impuissant à la faire sortir de l’enfer d’ici-bas.
Il fait alors feu de tous bois en réexpliquant les préceptes, ajoutant à chaque fois les notes les plus saugrenues et parfois les plus choquantes, inventant de nouvelles règles, justifiant l’injustifiable et cherchant une logique spirituelle à toute incongruité en ayant pour seul fil directeur la volonté de réduire les libertés humaines en cadrant les convictions et en réglementant les pratiques dans une seule direction : celle qui fera de l’homme la brebis docile prête à substituer à son Créateur, le directeur de conscience qui s’en est proclamé représentant…
Quand il lui arrive de s’organiser et de se hiérarchiser, ce clergé arrive à se doter d’une autorité spirituelle (Pape, grand Rabbin, Ayatollah ; Mufti…); ce n’est pas pour autant qu’il perd de sa capacité de nuisance, mais il a au moins le mérite de circonscrire cette nuisance au canal dans lequel elle opère et dont l’écluse ne s’ouvre et se ferme que par le chef spirituel consacré auquel sont confiées les clés du pouvoir absolu…
L’alternative de démocratiser la foi n’est pas pour autant moins néfaste ! Quand ce clergé est livré à n’importe quel « savant de la foi » on se retrouve en effet dans une tragique cacophonie …
C’est précisément la situation que vit l’Islam Sunnite qui, s’il a un Dieu, un Prophète et des doctrines plus ou moins proches, ne dispose point d’un porte-parole ou d’une autorité morale consacrée, capable de filtrer, contrôler, censurer les exégèses; ce qui lui vaut de se faire interpréter par une foultitude de nouveaux prophètes qui tirent leur notoriété et souvent aussi leurs richesses de leur fatwas…
Des fatwas à en veux-tu en-voilà, des fatwas à volonté et dont l’excentricité fait l’intérêt ; des fatwas qui disent la chose et son contraire, qui justifient ce qui, hier était tabou, qui autorisent ce qui était séculairement proscrit ou proscrivent ce qui était séculairement permis.
Des fatwas salaces parce que leurs auteurs savent que la salacité en ces terres de l’interdit sont payantes, des fatwas misogynes parce que leurs auteurs savent toutes les frustrations que cultivent leurs auditoires, des fatwas qui font la part belle aux violences car leurs auteurs connaissent tout le potentiel de férocité caché par les peuples auxquels elles sont destinées parce que trop longtemps asservis et brimés…

Mais cette frénésie exégétique et ce foisonnement d’imams cathodiques s’explique aussi, comme tout commerce, par le principe consacré de l’offre et de la demande... Très souvent, pour ne pas dire toujours, c’est le peuple qui oriente le prêcheur en eau trouble vers la fatwa qui assouvit son désir, son intérêt, ses pulsions, ses besoins, ses ressentiments… l’Imam de circonstance ne joue alors que le rôle d’alibi religieux ; et quand il refuse, par honnêteté, comme le valeureux Cheikh El Bouti, de s’inscrire dans la logique qu’on veut lui imposer et qui se situe souvent aux antipodes de l’esprit de la foi qu’il professe, il se fait crucifier par les rhéteurs, sous les applaudissements des zélotes…
C’est cette propension à adapter l’homme à la bassesse de son instinct et non à l’élever à la hauteur de son esprit qui a permis un jour, en ces terres, à d’arrogants, tonitruants et haineux Savonarole de s’imposer au détriment du monument de modestie, de sagesse et de raison que fut Abderrahmane El Djilali...
25/1/2016

ON NE FAIT PAS D'OMELETTES SANS CASSER LES OEUFS

 COMMENT TAIRE ?

Dieu a crée des richesses végétales, minérales, animales etc... L'homme en a toujours puisé pour se nourrir, se vêtir, se soigner, s'abriter, se chauffer, se déplacer...
Il en est des olives comme du mouton, comme du pétrole...
Et il en est de l'eau comme du fer, du phosphate comme du cuivre, du gaz dit "naturel" comme du gaz dit "de schiste"...
Ce qui est aberrant, c'est de ne pas exploiter le gaz de schiste comme toutes les autres richesses et non le contraire...


Quant à l'impact sur l'environnement, nous devons convenir que ce n'est pas nouveau... tout forage de puits pour l'eau potable impacte sur l'environnement, toute extraction de sable, toute construction fusse-celle d'un hôpital, d'un barrage, d'une route ou d'une mosquée aussi...
L'Homme qui a tué une bête pour se vêtir de sa peau a impacté négativement sur l'environnement... le feu qu'il a allumé la première fois pour se faire cuire un œuf à impacté négativement sur l'environnement... la première branche qu'il a coupée pour se construire une hutte a impacté sur l'environnement, les premières latrines qu'il a conçues pour faire ses besoins sans se mouiller le bas du dos ont impacté sur l'environnement, la première parcelle qu'il a labourée pour y semer les premiers grains de blé a impacté sur l'environnement...
Ceux qui avancent avec une fausse indignation les questions écologiques et environnementales pour justifier leur opposition à l'exploitation du gaz de schiste ressemblent à ceux qui penseraient se faire des frites omelettes "belbaidh" 😂 sans casser les œufs...

25/1/2020

FIÈVRES CYCLIQUES

 FIÈVRES CYCLIQUES

Je ne sais pas à quoi obéissent nos fièvres cycliques...
Nous en connaissons plusieurs par années.
Ces fièvres se déclenchent on ne sait quand, comment ni pourquoi... elles montent en température jusqu'à faire croire qu'elles vont déclencher une guerre ou une révolution...
Les médias s'en emparent et la "canaille" menace sur leurs micros ou dans leurs pages de ne laisser tomber "l'affaire" qu'après que le pouvoir politique l'ait réglée...
Le pouvoir politique intervient alors comme un bon comprimé de paracétamol et la fièvre commence à redescendre ne laissant en souvenir que ses diarrhées verbales en attendant une autre fièvre...
Ces fièvres, vous vous en souvenez... les potiches de mercure du port d'Alger... le vol de la baigneuse du Hamma, le python de Mohammadia, le jeteur d'acide de Belcourt, l'enlèvement de Ali Aya...
On pourrait si vous le voulez bien, nous en remémorer des centaines... les dernières en date étant le RHB de Zaibet, la clinique de Bellahmar, les casse-croûteurs du Ramadhan, les coups de gueule des anti gaz de schiste, les Panama Papers, la querelle Hanoune - Labidi, la maternité de l'hopital de Constantine, les cadenas du Telemly, le jardin de l'INA, la hoffra de Benak... sans parler des tonitruances de Saidani, des tribulations de Guidoum et la FAF, des 25 milliards de Abdelhamid La Science, de la repentance de la France, des clients fictifs de Rebrab et du parking à étages de Said Hamdine ou de je ne sais plus quel quartier d'Alger...
Je me rappelle pour ma part de cette grosse fièvre patriotique qui nous prit en 2012 au sujet de Baba Merzoug et vous donne à lire ce que j'écrivis à son sujet, participant ainsi moi aussi à cette brutale hausse de température qui tint en haleine le pays pour quelques jours puis qui s'estompa comme elle était venue...
---------------------------
"Seul le MDN peut demander sa restitution" - Khalida Toumi in El Watan du 18/2/2012
Baba Merzoug arme de guerre !!!!... on aura tout vu, tout entendu et tout lu et le ridicule a encore des hécatombes à faire s'il devait tuer...


Baba Merzoug n'a pas été embarqué pour servir à la défense de Brest, mille tonnerres !... Il a été emporté comme relique et non comme arme défensive et c'est aux autorités gardiennes des reliques qu'échoit la responsabilité d'exiger des voleurs d’œuvres de ce genre de le restituer...
Et quand les responsables attitrés du respect de notre patrimoine culturel et historique l'auront récupéré, qu'ils le cèdent au MDN ou à la CNAS ou à la CCI pour en prendre soin, c'est leur problème !
Et si le Dr Boulbina a fait de Baba Merzoug son cheval de bataille c'est surtout parce que les institutions de la République ont failli à leur devoir et en particulier ledit "Ministère de la Culture"...
Alors, trêve de faux fuyants et de "c'est pas moi c'est l'autre !" et ramenez nous vite fait notre Baba Merzoug !
----------------------
Boulbina a disparu, Khalida Toumi est oubliée, les clameurs de la foule se sont tues...
Baba Merzoug est toujours prisonnier à Brest...
25/1/2017

HOMMAGE

 HOMMAGE

J'ai connu Belkacem et Maachou au lycée polyvalent de Tizi Ouzou entre 1969 et 1971... Un lycée qui comptait aussi d'autres icônes: Cheikh Saheb, prof d'arabe atypique qui professait sa discipline en passant toujours par Bouzar, Cheikh Seddouki, ce puits de sciences semblant sortir d'un vieux livre d'Histoire, le digne Monsieur Stambouli, M. Sean Hennessey, quaker, objecteur de conscience et fan de... Oum Kalsoum, Kolli et Karamani qui ne sont pas à présenter, Monsieur Boubrit et les russes Lachkarev et Kokarev...


Pour l'anecdote, je raconte cette petite histoire... un jour que nous nous apprêtions à "monter" en classe (j'étais en terminale Math's Elem du temps de Mme Lelong), nous vîmes M. Belkacem venir vers nous, les pans de son pardessus noir flottant au vent...
J'avais l'appréhension qu'il allait m'arriver quelque chose... il fit l'inspection des rangs dans le silence et le respect qui accompagnaient toujours ses contrôles qu'il opérait comme un sergent devant une section de nouveaux conscrits...
Il s'arrêta à mon niveau... je portais une petite barbiche... il me prit par le menton et me tança sévèrement en me disant: "Monsieur porte un bouc parce que monsieur croit que le bouc il fait l'homme... non monsieur ! le bouc il ne fait pas l'homme, le bouc il fait la chèvre!" ...
Je salue Monsieur Belkacem bien bas, je m'incline devant la mémoire de ces profs généreux, humains, passionnés et tolérants...
25/1/2012
NB. Autres temps autres mœurs...au jour d'aujourd'hui s'attaquer à la barbe relèverait de l'hérésie.

EL MOURADIA N'EST PAS SAMIRA TV

  CONSECRATIONS SANS MERITES... Je n'ai pas l'honneur de connaître tous les sénateurs, heureux élus du tiers présidentiels, ni les a...