26/8/2014
Qu'importent le pigment de la peau, l'idole qu'on vénère, la fortune qu'on engrange, la géographie où on vit, la langue qu'on maîtrise, l'histoire dont on se gargarise, la puissance qu'on exhibe, l'intelligence qu'on possède ...
Il n y a pas des bons, des brutes et des truandes, des religieux et des impies, des nobles et des roturiers, des maîtres et des esclaves, une race élue et d'autres qui ne le sont pas...
Les hommes forment deux camps et deux camps seulement, comme disait José Marti : "Ceux qui aiment et créent et ceux qui haïssent et défont..."
Ebossé faisait partie du premier camp, son tueur du second...
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