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dimanche 15 novembre 2020

CES MALADES QUI NOUS GOUVERNENT

 Lazem netfahmou ya djma3a(1)...



Ana n'goulelkoum essah(2), le sort du président ne m'intéresse pas plus que celui de n'importe quel politicien ou imam et beaucoup moins que celui d'un artiste ou d'un écrivain... car le politicien et l'imam sont interchangeables contrairement à l'écrivain ou à l'artiste dont le génie créateur est impossible à remplacer...
C'est le signe d'une véritable indigence politique et d'une totale absence de maturité sociale que de lier le sort d'un pays à un homme...
Henry Kissinger disait: "un pays se condamne à mort s'il doit s'inventer un homme providentiel tous les 20 ans"...
Et je crois que les partisans de la déification du président trouvent un précieux concours pour faire passer cette conception inique, chez tous ces indignés qui n'arrêtent pas de surveiller la moindre éclipse du président pour annoncer sa fin, faisant de lui un phénix alors qu'il n'est qu'un simple mortel...
Ou n'goul thani(3), yen3al bouha blad(4) qui repose sur les épaules d'un homme quel qu'il soit !
Et que ceux qui veulent à tout prix suggérer que le président est au top de sa forme ou ceux qui veulent à tout prix nous convaincre qu'il est fini i3effou djeddna !(5).
Brahmet el waldine(6), occupez vous de choses plus profitables à ce pays oualla bell3ou!(7)
16/11/2014
1- Faut qu'on s'entende, Messieurs !
2- Moi, je vous le dis en vérité...
3- Et j'ajoute aussi...
4- Maudit soit le pays...
5-Qu'ils nous laissent tranquilles.
6-Bénis soient vos géniteurs
7-Ou Fermez là !

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