Si j'ai enregistré avec satisfaction les réactions de mes amis qui ont compris le sens de mon petit texte relatif à la sournoiserie des consécrations de nos artistes et écrivains par la douce Fafa, je déplore quelques procès en règle que deux ou trois personnes m'ont faits, certains m'accusant même d'user d'un langage bouteflikien quand ils accusent Bouteflika d'être lui même à la solde de Fafa...
Allez y comprendre quelque chose !
Je dirais à ces messieurs que ce n'est pas la première fois que je m'insurge contre ce paternalisme de Fafa et sa propension à récompenser les "bons sauvages" parmi nous où ceux qui peuvent exacerber certaines de nos divisions qu'elle a créées quand nous étions ses "sujets"...
Pour rappel, j'ai marqué ma révolte et ma réprobation en 1977 déjà, par une lettre au courrier des lecteurs d'El Moudjahid quand le Président de la douce Fafa avait osé donner le nom de Jugurtha à son braque de Weimar(1)...
D'aucuns auraient pu trouver que c'était une consécration pour notre valeureux ancêtre que de porter le nom d'un chien présidentiel... moi pas !
(1) Mon ami Bouzid a fait mieux qu'écrire une lettre au courrier des lecteurs d'El Moudjahid, il a appelé son chien (un bâtard): Giscard !
22/11/2014
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