Moi, je préconise, au cas où l'anticyclone des Açores s'obstine à rester en place pour empêcher toute perturbation atmosphérique d'atteindre nos terres, et si la Salat el Istiqa ne réussit pas à le déloger, de conduire un Hirak pour l'obliger à s'en aller...
Un Hirak national dans lequel nous lui ferons entendre ce qu'il n'a jamais entendu...
Un Hirak où nous donnerons libre cours à notre inventivité sloganesque et à notre verve très algérienne...
Un Hirak sans risque, auquel se joindront les policiers et dans lequel nous tolérerons même Zeghmati et ses procureurs mendjelistes...
Wach t'goulou ?
8/2/2020
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