LES HOMMES DE... PAROLES

COMMENT TAIRE ?

Ait Ahmed, Boudiaf, Bouregaa, Taleb el Ibrahimi, Said Sadi, Louiza Hanoun, Mokri, Abujerra, Bouchachi, Assoul, Tabou, Benflis et toute la faune qui n'arrête pas de crier "haro sur le système" est formée de messieurs-dames qui sont incapables de calculer un prix de revient, d'organiser une chaîne de production ou de lire un bilan...

Ce sont des machines à paroles qui peuvent critiquer des options en se rappelant les études de textes de leurs cours de première au lycée.

Hommes et femmes de lettres, leur raisonnement n'inclut aucune logique mathématique car ils ne savent aligner que des lettres, pas des chiffres...

Et s'ils réussissent à convaincre leurs auditoires c'est parce que ces auditoires ont majoritairement été formés aux lettres et non aux chiffres (ce n'est pas seulement moi qui le dis!)...

Le jour où ces messieurs-dames se retrouveront confrontés aux implacables lois des mathématiques qu'impose la gestion, ce ne seront pas leurs connaissances en rhétorique qui leur permettront de donner les bonnes réponses qui leur épargneront eux aussi les colères citoyennes...

Ceci dit, je n'affirme pas, loin s'en faut que Bouteflika, Ouyahia, Sellal, Belkhadem, Saidani, Brahimi, Bedoui et la cohorte de "cadres" soumis au "cadre" sont meilleurs... tous ces hommes de parole et de parole seulement ont fait la même école; celle qui n'apprend pas à créer des richesses mais seulement à les distribuer...en s'en attribuant la grosse part.

Et si vous trouvez que j'ai tort, dirou belli ma goult walou !

30/3/2019