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vendredi 4 décembre 2020

LES LECONS DE L'EPISTOLIER

 Aux infos de ce matin (4/12/2018), une autre péripétie de notre épistolerie présidentielle...



Cette fois ci c'est notre ministre des tabous au nom doublement prophétique qui est venu nous lire la lettre de notre bon président qui, en parfait symbole de ce paternalisme qui castre les peuples tiers-mondistes, nous entretient en usant de sa bonhomie coutumière, comme s'il s'adressait à des demeurés, de la nécessité de rester nous mêmes en matière de bonne foi religieuse...
Le président qui semble écrire à chaque fois une rédaction de potache en s'appliquant sur la concordance des temps, nous prévient que si nous avons réussi notre moussalaha, cela ne veut pas dire que nous serions définitivement hors de danger... D'aucuns, comme vous et moi pensent que c'est plutôt cette moussalaha qui a reconduit la potentialité du risque en brisant l’élan populaire de neutralisation des facteurs de ce risque... Mais qui donc nous écoutera, nous autres, qui n'avons ni tribune ni porte-voix ?
Tout le monde sait pourtant que le chiendent récidive pour peu qu'un seul rhizome soit oublié lors de son arrachage... Et la moussalaha quoi qu'on dise, ne fut pas une opération en profondeur mais tout juste un traitement de surface....
Voila... Et que ceux qui seraient tentés de me faire entendre ou lire un autre discours se disent que ma goult walou !
4/12/2018

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